Radiguet : le paradoxe par excellence. Mort à 20 ans, il était, cependant, né adulte, avec des sentiments et des réactions d'adulte. Conséquence : une nostalgie fondamentale, clef de toute son oeuvre que l'auteur nous fait découvrir.
C'est la double vie, de peintre et d'écrivain, que nous raconte dans le détail le présent ouvrage. Pour la
première fois, il s'agit d'une authentique et exhaustive biographie, s'efforçant de nous présenter le grand homme de La Rochelle tel qu'en lui-même, sinon l'éternité, du moins un siècle et demi nous permet aujourd'hui de le connaître jusque dans son intimité.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Clément Borgal, avec des illustrations d'Henri Dimpre, nous conte aujourd'hui des légendes anglaises : du Corbeau noir qui a des écus, à la Lune et le coucou, en passant par le Chevalier au puits sauvé par sa jument, ou encore au Dragon qui pleure...
Clément Borgal est né en 1926, à Orléans. Ancien élève de l'École normale supérieure, agrégé des lettres, licencié en philosophie, a écrit des romans, des contes, des comédies. Dans ses nombreux ouvrages de critique littéraire, dont deux ont été couronnés par l'Académie française, s'est particulièrement intéressé aux écrivains et animateurs de théâtre. Citons : Le Misanthrope de Molière, Beaumarchais, Nerval, Jacques Copeau, Martin du Gard, Cocteau, Anouilh, Metteurs en scène. La présente étude est la sixième qu'il publie aux Éditions universitaires.
Clément Borgal, né en 1926, à Orléans. Ancien élève de l'École normale supérieure. Agrégé de lettres. Outre ses nombreuses collaborations aux revues et journaux littéraires, a publié des romans et des contes : Les colonnes d'Hercule (Les deux rives, 1949), La petite ourse (Julliard, 1958), Contes sous la brume (L'écureuil, 1958), Contes des pays de Loire (Lanore, 1960) ; - des essais : Gérard de Nerval (Les deux rives, 1950), Alain-Fournier (Éditions universitaires, 1955), Roger Martin du Gard (Éditions universitaires, 1958), Jacques Copeau (L'arche, 1960) ; - et plusieurs pièces de théâtre.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Comme un certain nombre d'écrivains spiritualistes, l'auteur de « Terre des Hommes » a été l'objet de plusieurs tentatives d'annexion au christianisme. Clément Borgal s'élève avec véhémence contre ces interprétations abusives. Cela ne saurait étonner ceux qui connaissent ses précédents ouvrages sur Nerval, Baudelaire, Alain Fournier. Fidèle à son entreprise de "démythification", il passe impitoyablement au crible chacun des textes de Saint-Exupéry. En ce "géant du ciel", il voit le type même de l'écrivain partagé entre les exigences de son humanisme et une soif inextinguible de religion. Mystique certes, mais intellectuellement hostile à toute forme de révélation : tel lui apparaît le poète moraliste du « Petit Prince ». Aucune idée qui ne soit immédiatement confirmée par une citation précise. L'exégèse tire sa force de cette référence constante à l'oeuvre, et notamment à « Citadelle », si souvent laissée de côté par les commentateurs.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Jacques Copeau, Louis Jouvet et Charles Dullin qui vécurent la grande aventure du Vieux-Colombier, puis Gaston Baty et Georges Pitoeff qui, avec ces deux derniers, constituèrent le fameux Cartel nous sont présentés par un des plus éminents spécialistes de l'art dramatique. L'étude de Clément Borgal, dont l'érudition ne le cède qu'au charme et à la clarté, nous permet de revivre vingt-cinq des années les plus enthousiastes et les plus prestigieuses de l'histoire théâtrale.
Paraissant au moment du centenaire de la naissance de Cocteau, l'ouvrage projette sur l'homme et l'oeuvre une lumière fondamentale.