Guillaume Chalifoux a un problème et il a l'impression d'être le seul sur terre à souffrir de cette malédiction. À la pensée de parler en public, son coeur se déchaîne, indomptable. Lorsque, avec tout son courage, il ose ouvrir la bouche, les mots se bloquent et il souffre énormément. Guillaume évite de parler et il a tendance à se réfugier dans son silence. Jusqu'à ce qu'un jour un chien nommé Churchill entre dans sa vie. Ce sera son confident, à qui il pourra tout dire sans difficulté. Grâce à lui, Guillaume pourra relever de grands défis.
Mon père buvait. Mes oncles buvaient, tout comme les pères de mes amis, mon frère, mes cousins. Les joueurs de hockey buvaient, de même que les politiciens, les comiques, les journalistes, les ouvriers, les intellectuels... Tout le monde, en fait. Si on voulaitêtre un homme, il fallait s'y mettre le plus rapidement possible, et ne jamais arrêter. Boire jusqu'à en mourir, parfois. Jusqu'à briser des relations, souvent. À commencer par celle qui devrait exister entre un père et son fils.
Aller passer une semaine chez sa grand-mère parce que ses parents sont partis en voyage d'amoureux, ce n'est certainement pas une aventure ! Mais... lorsque les livres de grand-mère recèlent plusieurs secrets et mystères... il y a de quoi jubiler !
Pas moyen de dormir à Venise depuis que des milliers de mille-pattes phosphorescents ont envahi la ville. Leurs cris stridents sont insupportables. Rendez-vous plutôt à Londres. Désolés de ce fâcheux contretemps.
Klonk et Karine.
Tu parles d'un voyage de noces ! Klonk et Karine se sont-ils lancés dans une nouvelle aventure, ou s'agit-il d'un atroce cauchemar ?
Saviez-vous que les goélands, les chats, les singes et plein d'autres animaux vont à l'école ?... Je parie que vous ne devinerez jamais ce qu'ils y apprennent, foi de Charles, directeur d'école ! L'auteur masqué vous livre ses recherches « ultra secrètes » sur l'univers scolaire des animaux. Des révélations incroyables! ... Un livre à cacher! Un livre à mourir de rire... mais pas trop fort! Chut!
Prix et nominations :
2017 - 3e position Palmarès Communication-Jeunesse
On a parlé de nous :
« Avec le ton irrévérencieux qu'on lui connaît, l'auteur présente les matières étudiées des animaux, et qui semblent souvent bien plus amusantes que le français ou les mathématiques... »
Pierre-Alexandre Bonin, Revue Collections, septembre 2017
François n'est pas très bien équipé, mais rien ne peut l'empêcher de jouer au hockey !
Au marché, il ne faut rien oublier. Surtout pas la crème glacée !
François va au zoo. Comment choisir son animal préféré ? Il n'arrive pas à se décider !
François ne trouve plus son chat. Où peut-il bien se cacher ?
Des cambrioleurs en quête de sensations fortes, un vieillard qui communique via Facebook avec des trépassés, un menteur aguerri qui laisse libre cours à sa passion sur Internet, un fils qui assassine ses parents... Dans ce recueil regroupant dix-sept courtes nouvelles, François Gravel explore des thèmes sombres avec la touche d'humour et de légèreté qu'on lui connaît : meurtres, vols, mensonges et arnaques deviennent ici fort divertissants, pour ne pas dire franchement réjouissants !
Saviez-vous qu'en Alaska, il est illégal de réveiller des ours pour les photographier et de jeter des orignaux du haut d'un avion ? Qu'au Vermont, il est interdit de siffler sous l'eau ?
Connaissez-vous Al Capone, les véritables frères Dalton, Jack L'Éventreur et les sorcières de Salem ?
L'univers de la justice est souvent sérieux, mais il est aussi rempli de bandits bêtes, de coutumes étonnantes, de lois aberrantes et de moyens de détection ingénieux ! Voyez les policiers et les criminels sous un nouveau jour !
C'est un destin bien singulier que celui de ma mère, quand on y pense. Certains enfants ont été élevés dans des tentes, des roulottes, des chambres d'hôtel, des orphelinats, des bungalows de banlieue ou des châteaux, d'autres ont sans doute grandi dans des endroits plus insolites et même improbables, mais je parierais que rares sont ceux qui auront passé leur jeunesse dans des presbytères.
À l'automne 1920, Martine a quatre ans et s'apprête à passer sa première nuit chez son oncle, curé. Sa mère vient de mourir. Son père l'a abandonnée. Ses frères et soeurs ont été dispersés aux quatre vents. La petite aurait besoin d'être consolée, mais son oncle refuse de la gâter. Du haut de l'escalier qui mène à sa chambre, Martine se dit qu'elle devra s'habituer, que ce sera toujours comme ça. Ce soir-là, elle se construit un blindage que personne ne réussira jamais à percer.
Dans ce récit doux-amer où jaillit néanmoins l'humour qu'on lui connaît, François Gravel raconte la vie de sa mère, cette femme complexe qui laissera à son tour ses enfants « en haut de l'escalier ».
Affronter un chien fou de rage tous les samedis quand on est un petit garçon et qu'on est seul, c'est effrayant. Si, en plus, tout le monde est persuadé que ce chien fou furieux est mort depuis longtemps, alors, c'est absolument terrifiant ! Mais David n'a pas le choix...
Des cauchemars affreux terrorisent David nuit après nuit. Ses rêves sont si effrayants qu'il ne veut plus dormir. Heureusement, il est toujours aussi débrouillard, et c'est avec créativité qu'il apprivoisera les monstres qui peuplent ses nuits...
David n'a pas peur des cimetières. Il sait que les morts sont enfermés dans des cercueils et qu'ils ne peuvent pas en sortir. Mais ce soir, David a peur. Il doit accompagner son père au salon funéraire. Et si le mort se réveillait ? Et si son cauchemar devenait vrai ? Heureusement, David n'aura pas à affronter ses terreurs tout seul.
David n'a peur ni des monstres, ni des cauchemars, ni des sorcières, ni des vampires, ni même des voleurs. Il n'a peur de rien, sauf... de parler à Léa. Pourtant, dans ses rêves, David est prêt à surmonter tous les dangers pour impressionner sa belle. Trouvera-t-il, dans la vie, le courage de lui parler ?
Mon cher Fred,
Viens chez moi samedi prochain , à trois heures pile. On va bien s'amuser.
À bientôt,
Klonk
P.-S. : Apporte cinq mille dollars, en petites coupures.
Il n'y avait rien d'autre dans l'enveloppe que ces quelques lignes rédigées à la hâte sur une feuille de papier. Je ne savais trop que penser de ce message. Pour en savoir plus long, j'ai téléphoné chez Klonk.
Il y a 100 milliards de neurones dans le cerveau humain. Les éléphants en ont 253 milliards. Peut-être qu'ils sont plus intelligents que nous et qu'ils ne veulent pas le montrer parce qu'ils n'ont pas de temps à perdre. C'est pareil pour nous quatre. Il se passe trop de choses dans notre cerveau et c'est plus intéressant que ce que les gens nous disent, alors on se tait et on pense.
Louis a été vendu par ses parents au Laboratoire de la Société. S'il parle trop vite, ses trois amis, eux, ne parlent pas du tout. Cela ne les empêche pas de se comprendre entre eux et de découvrir beaucoup, beaucoup de choses à propos de cette Société...
Le diagnostic est tombé sur la tête de François Gravel comme une tonne de briques : Parkinson.
Comment affronter la réalité de cette maladie dégénérative dont on ignore la cause et pour laquelle il n'y a aucun espoir de guérison ? François Gravel a choisi de réagir à sa manière, en entreprenant l'écriture d'un livre dans lequel il est question de ses recherches sur le sujet, mais aussi de ses angoisses, de ses états d'âme et de tout ce que l'arrivée de cette maladie a changé dans sa vie. À la fois informatif et touchant, grave et plein d'humour, ce bref récit est tout sauf un apitoiement sur soi. Puisse-t-il être utile à d'autres qu'à lui.
À 42 ans, Klonk décide qu'il est temps de se marier. Il envoie donc des invitations à tous ses amis. Mais s'il sait où et quand il veut se marier, il ne sait pas encore avec qui! N'ayant pas une minute à perdre avec ce genre de détail, il demande à Fred de lui trouver une épouse... Et voici nos deux amis lancés dans une nouvelle aventure pleine de rebondissements plus inattendus les uns que les autres...
Quand l'amour ne vit que dans la mémoire! Un livre pour tous, aussi bien ceux qui ont vécu ces mythiques années 70 que ceux qui regrettent d'être nés trop tard...
o Quand l'amour ne vit que dans la mémoire! Juste là où se confondent la passion et la nostalgie.
o Un livre pour tous, aussi bien ceux qui ont vécu ces mythiques années 70 que ceux qui regrettent d'être nés trop tard...
Années 70. Quelle époque, celle de Woodstock, des hippies, des communes et de l'amour libre. Vingt-cinq ans plus tard, Jean-François se souvient de ces soirées à discuter philosophie, de Michel, son meilleur ami qui avait toutes les filles à son cou. Il se rappelle surtout cette belle journée d'automne au mont Saint-Hilaire et sa rencontre avec Kate. Tout en finesse, en nuances et en humour, Jean-François nous raconte ici les lettres d'amour, les émotions, les maladresses et les tendres moments qui font que l'on n'oublie jamais... un premier amour.
Un voyage dans un avion à réaction de milliardaire, une île volcanique, un gilet de sauvetage qui se transforme en gilet de coulage, un palais sous-marin, une pieuvre géante, une diabolique partie de billard opposant Klonk et Klonk, des requins vampires et des jumeaux télékinésistes, Morley et son étrange pendule, sans oublier les biscuits feuille d'érable... Pas de doute, nous sommes dans une nouvelle et palpitante aventure de Klonk!
C'est du François Gravel à son meilleur que l'on retrouve dans ce roman qui combine tout ce qu'on adore dans la série Klonk : suspens, humour, effets spéciaux, situations irrémédiables... et dénouement merveilleusement inattendu. Ponctué par les impayables illustrations de Pierre Pratt, voilà un livre dans lequel on plonge avec bonheur!
Du fond des mers où il se trouve en retraite fermée, Klonk lance un appel de détresse à Fred et Agathe, ses amis de toujours, afin de l'aider à protéger sa nouvelle invention. Il ne faudrait pas que des individus mal intentionnés s'en emparent. Le sort de l'humanité en dépend. En fait d'ennemi, Klonk en trouve un à sa mesure : lui-même ! Qui est le vrai Klonk ? Et surtout, que faire pour éviter que cet esprit génial ne coure à sa perte?
Voyages à travers le temps, apparitions fantomatiques et voix d'outre-tombe... François Gravel a réuni dans ce cinquième titre de la populaire série Sauvage, tous les éléments nécessaires à un roman d'épouvante redoutablement efficace. Il remet en question les fondements mêmes du temps, celui qui nous est alloué et ce qu'on en fait. L'expression « perdre son temps » n'aura jamais été aussi terrifiante...
M. Svonok était obsédé par le temps. La preuve, sa maison est remplie de centaines d'horloges. Dans toutes les pièces! Le défunt propriétaire de cette maison que doivent retaper Steve et ses amis était-il un fin collectionneur ou simplement un vieil ermite un peu dérangé? Nul ne le sait. Une chose est sûre cependant, la maison semble émettre de drôles de vibrations. En effet, depuis leur arrivée, les quatre adolescents sont habités par de curieuses impressions... Souvenirs du passé qui rejaillissent tout à coup, voix d'outre-tombe qui tentent de dicter leur conduite, voyages dans le temps, rien n'est normal ici, au fond des bois. Et cette lueur étrange là-bas, de l'autre côté du lac, d'où peut-elle bien provenir? Il n'y a pourtant pas âme qui vive à des kilomètres à la ronde... Seraient-ils en danger? Devraient-ils fuir ou bien rester?
Roman cru et brutal sur l'haltérophilie, sur le dépassement physique et mental, mais surtout sur l'oppression, François Gravel nous entretient sans compromis d'endoctrinement. Plus encore qu'au coeur du sport et de la compétition, c'est dans une société asiatique tyrannique misant sur un perfectionnisme malsain que François Gravel nous plonge avec ce roman.
Dans un pays qui n'est jamais identifié, un jeune haltérophile livre le récit succinct, dur et bouleversant de sa trop courte vie. Par le biais de notes en bas de pages et d'un récit complémentaire, sa femme - car le jeune homme fut marié de 13 à 16 ans - rétablit la vérité.
Confiné à un lit d'hôpital, Hò, 16 ans, champion d'haltérophilie, est en phase terminale. Sur des petits bouts de papier qu'il cache sous son matelas, il raconte une réalité dans laquelle il a toujours agi de manière à servir son pays, et plus particulièrement Dao Kha, leader du pays et soleil de leurs vies à tous. Fier patriote et pensionnaire d'un « camp de pionniers », il s'est prêté à tous les entraînements, à toutes les compétitions et même à toutes les opérations chirurgicales souffrantes qui se présentaient, tout ça pour la gloire de Dao Kha, père de la patrie. Complètement endoctriné, il a subi sans même rechigner, le mariage, les dons de sperme et la sexualité contrôlée qu'on lui a imposée.
Des années après les événements, Lin, qui fut marié à Hò, donne une version critique et éclairée des faits, dénonçant l'oppression et l'endoctrinement dont ils furent victimes et dont souffrit également tout le peuple, à l'intérieur comme à l'extérieur des camps.