Orthographe, grammaire, conjugaison... Même pas peur !
Deux mille ou deux milles ? Inclus ou incluse ? Tord ou tort ? Pour être crédible, mieux vaut éviter les fautes ! Mais entre le manque de temps et des règles de français soporifiques, où trouver la solution ? Dans ce guide malin, bien sûr !
Ultra-simple et concret, ce livre propose :
- Un ton décontracté pour un apprentissage ludique.
- Des règles expliquées simplement, qui vont à l'essentiel.
- Des bonnes astuces et des « mémos malins » pour tout retenir sans effort.
Inclus : des exercices corrigés à télécharger pour être sûr d'avoir tout compris.
Ce guide pas-à-pas propose une pédagogie vivante pour maîtriser les bases de la langue française et éviter les erreurs les plus courantes.
Il s'appuie sur un parcours progressif de 10 journées, chacune complétant les apports de la précédente d
Pour l'herbier, Jean-Paul Colin a eu bien raison de se jeter dans les eaux bouillonnantes de la mémoire, de lui faire éperdument confiance et la laisser, source parfaite, rafraîchir tous ses souvenirs ramenés à la surface. Lui permettre de les charrier, les caresser, les façonner aussi pour en faire une autobiographie-fiction ou l'inverse. Peu importe la réalité évanescente des fruits qui tomberont d'un arbre décrit maigre et haut, mal poussé, pas épanoui, pas majestueux, pourvu que celle-ci rosisse à nouveau quelques joues, sèche quelques larmes parlant d'un fils qui parle des ses parents, de ses grands-parents, de ses oncles, tantes, cousines et amis. Sans oublier l'espoir incrédule des retrouvailles au-dessus de l'humus. Un brin de Pergaud pour l'écureuil et les noisettes du grenier, de Balzac pour l'opulence rance des salons bourgeois, de Chateaubriand pour Eugénie qui se glisse frileusement sous la pierre plate, de Proust pour le froufroutement des robes, de Baudelaire au bras d'une coquette maigre aux airs extravagants pour les ballets involontaires, dans le champ d'épis dorés de Jean-Paul Colin, seul maître de cette peinture du temps et des saisons, des âmes... dont le talent est de rapprocher le coeur des mains. « Le fils va renouer le dialogue avec les meubles de son jeune âge, avec les tableaux qu'il dévisageait dans ses jours de fièvre, jusqu'au vertige. Il comprend seulement alors à quel point ce décor, qui a voyagé dans le monde presque entier, a toujours fait partie de lui-même, à son insu. Il passe des nuits délicieuses et apaisantes dans cette maison morte, où ne vit plus que l'essentiel. Il a remis en marche la pendule qui sonnait jadis l'heure des petits bonheurs... »
Jean-Paul Colin nous invite à le suivre dans ses Errances, récits de voyage qu'il nous propose comme de brefs romans vrais. Franchir avec lui le temps comme l'espace à travers la France, en vélo, en voiture, en car. Peu importe le véhicule, l'ivresse est la même. Découvrir le banc de la rêverie, Fleurines, La Nonette, Chantilly, Senlis, des Saints bien intentionnés, Firmin, Léonard, Mortefontaine, l'Allemagne, la Roumanie, le Jura en passant par Bagdad. Découvrir aussi que « les paysages gardent les souvenirs », que « l'on peut voir avec les pieds », que Jean-Paul ne manque pas d'humour tandis que Colin rend hommage à Flaubert, Rousseau, Nerval... Et que l'on va hésiter entre « l'exquise solitude » ou « la plénitude offerte par les sites parcourus ». Jean-Paul Colin dévoile ses pensées, ouvre son carnet de route, et nous transporte, malgré lui, malgré son humilité, comme seuls les poètes savent le faire.
Grâce à leur talent et au sien, Jean-Paul Colin compose pour nous les paysages « à coups de reflets et de senteurs » que l'on arrive à voir, à sentir... A entendre... Pousse la porte des musées, des églises, des châteaux, pour notre plus grand plaisir. Puis il écrit : « Il y a les usines où se fabriquent le plaisir et le chagrin du monde, le reste, le reste n'est que littérature », eh bien non, la littérature, la vôtre, reste nécessaire. Longtemps encore, après la lecture de cet ouvrage, nous continuons à planer sur « le nuage rosé de l'île de France », comme persiste ce fameux instant qui suit les musiques de Mozart.
Extrait :
Par où commencer le récit d'impressions de voyage ? Surtout lorsqu'il s'agit d'un voyage à bicyclette, durant lequel la fatigue musculaire se conjugue à l'afflux de sensations de toutes sortes pour vous empêcher de bien goûter le charme et l'intérêt du parcours. Ne voit-on pas aussi un peu avec les pieds ? (pardonnez-moi ce prosaïsme). Toujours est-il qu'après m'être élancé vaillamment hors de la capitale, avec mes deux jambes d'agrégatif pas entraîné et ma fringale d'espace pour tout soutien, je ne tardai pas à constater quelle différence essentielle existe entre le vélocipède et l'automobile, différence que, je l'avoue à ma grande honte, j'avais quelque peu oubliée. Ah ! ma vieille 201, malgré ma passion pour ta persévérante validité, je ne savais pas encore combien tu m'étais précieuse ! Mais foin de regrets superflus ! Et que je me fouette un peu de la vanité du sportif-quoique-intellectuel ! Car, parmi mes chers camarades, combien d'agrégatifs, bourrés de science vaine, ne sont pas partis pour des régions lointaines, et surtout pas à bicyclette, comme moi !
La ruée vers l'Ouest n'est plus qu'un souvenir que l'on peut maintenant voir sur grand écran grâce à l'industrie naissante d'Hollywood.
Nevada Marquez oscille entre les deux mondes, chargé par Hollywood des missions les plus improbables à la frontière américano-mexicaine. L'enquêteur est chargé de retrouver un acteur disparu lors d'une virée à Tijuana... Une surprise l'attend au bout de la piste.
Sammy Glover, star du nouveau western de Louise Hathaway, est victime d'une attaque cardiaque lors du tournage. Un seul acteur a le talent pour le remplacer : Mac Nabb, l'étoile solitaire, malgré ses addictions au jeu, à l'alcool et aux drogues. Il accepte le rôle mais à une condition : rejoindre le tournage à Monument Valley à cheval escorté par une de ses vieilles connaissances : Nevada Marquez.
À peine remis de son excursion au Mexique pour y rattraper l'Étoile du Texas en mal d'émotions fortes, Nevada repart pour une nouvelle mission. Tout ne va pas se passer comme il l'espérait, mais après tout il a l'habitude.
Louise confie à Nevada, l'homme à tout faire des studios d'Hollywood, une livraison de la plus haute importance. À Los Angeles, dans le célèbre quartier de Chinatown, le destinataire attend ce « cadeau » qui facilitera la signature d'un contrat d'exclusivité avec le studio. Malheureusement, le contenu du paquet a l'air de beaucoup intéresser un chef des redoutables triades chinoises...
Washington, 1965. Le Président réélu inaugure son second mandat par une offensive terrestre déterminante sur le nord Vietnam communiste. Tandis qu'en Amérique, la contestation grandi et que le pays sombre lentement dans la dictature, French, un engagé volontaire au Vietnam, abat un officier supérieur. Le 22 novembre 1973, il est à Dallas, dans les toilettes d'un bar. Il y récupère un fusil à lunette...
1947. À la veille de se présenter à la candidature présidentielle, Joe Kennedy envoie ses fils charger une livraison d'alcool en provenance de la Nouvelle-Orléans, capitale française depuis l'indépendance américaine et port d'attache de tous les trafiquants du pays. Mais quand la mafia, un shérif et une grande actrice s'en mêlent, la virée des deux frères pourrait bien s'avérer être la dernière...
Neuf morts, neuf secondes, une seule arme : une enquête aux airs de « déjà vu » pour l'inspecteur Wonderball, le flic le plus désaxé de San Francisco. À la croisée de XIII et L'Inspecteur Harry, La série événement dessinée par Colin Wilson.
San Francisco, 1983. Un tueur de masse abat 9 personnes depuis un toit. L'inspecteur Spaddaccini, surnommé par Wonderball à cause des friandises qu'il mange, est chargé de l'enquête. La rapidité du tueur lui rappelle un dossier qui a marqué sa carrière : l'assassinat de Kennedy. L'occasion d'une promenade dans le passé du San Francisco freak et toxique des années 60 et 70.
Neuf morts, neuf secondes, une seule arme : une enquête aux airs de « déjà vu » pour l'inspecteur Wonderball, le flic le plus désaxé de San Francisco. Une série policière à la croisée de XIII et L'Inspecteur Harry.
Wonderball, suivant les indications du Fantôme, trouve dans l'Utah les archives d'une maison de production cinématographique dont les films servaient au conditionnement des Alphas. Le Collège invisible, conscient qu'il faut arrêter Wonderball avant qu'il ne découvre la vérité sur ses origines, envoie sur sa piste l'un de ses agents, un shérif sans histoire qui se révèlera être un tueur en série impitoyable.
Poursuivant toujours plus intensément son voyage initiatique au coeur de son enfance, Wonderball se lance à la poursuite d'Alan Smithee... Le lien entre le célèbre photographe et les Alphas est maintenant évident. Grâce aux indications du Fantôme, il parvient à le capturer pour l'interroger. Alors que certains voiles sur le passé de Wonder se lèvent, le Collège invisible se décide enfin à entrer en contact avec lui...
Fin de partie pour l'inspecteur Spadaccini, le flic le plus désaxé de San Francisco, avec une montée en puissance de la tension et des révélations en cascade dans ce dernier tome orchestré par Duval & Pécau !
L'affrontement final de Wonder avec son créateur va le confronter à un choix crucial. Les révélations puissantes que lui fait le Collège invisible l'abattent et le condamnent. Comprenant qu'il ne pourra rien y faire, il s'associe une dernière fois au Fantôme. Spadaccini va-t-il chercher à obtenir les réponses qu'il a toujours souhaité ou tout détruire pour enfin répondre à sa nature profonde ?
Neuf morts, neuf secondes, une seule arme : une enquête aux airs de « déjà vu » pour l'inspecteur Wonderball, le flic le plus désaxé de San Francisco. Une série policière à la croisée de XIII et L'Inspecteur Harry.
Mis en congés forcés pendant l'enquête sur la mort du « Chasseur », Wonderball assiste aux funérailles de son ami Bob Archer. Là, il est approché par un mystérieux individu affirmant connaître les liens entre le Collège Invisible et la mort d'Archer. Ces révélations mèneront Wonderball sur les traces de son passé.
Schopenhauer n'a jamais trouvé en France la place qui aurait dû lui revenir. Méconnu par les philosophes, il fut annexé par les écrivains naturalistes et au gré de la fantaisie de chacun, il devint tantôt un positiviste, tantôt un sceptique désabusé, tantôt un consolateur fraternel. Cet ouvrage, qui est la version revue d'une importante thèse de doctorat, retrace l'histoire de l'introduction de l'oeuvre de Schopenhauer en France entre 1854 et 1870 et montre la formation d'une véritable figure mythique qui hante certaines oeuvres majeures des romanciers naturalistes : notamment Céard, Zola, Huysmans et Maupassant. Il nous invite aussi découvrir un philosophe dépouillé des oripeaux pittoresques dont on s'est longtemps obstiné à le revêtir.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
On s'explique malaisément comment Madagascar, une proie si riche, une position si forte dans l'Océan Indien, a pu échapper jusqu'ici aux convoitises européennes. Autrefois surtout, quand elle commandait l'unique route des Indes, elle formait un point stratégique dont les flottes Portugaises auraient dû, semble-t-il s'assurer à tout prix.Mais les nations, comme les individus, ont leur destinée, - disons mieux, - leur vocation ; et la colonisation de Madagascar était le rôle réservé par Dieu à la France.Fruit d'une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.
La dangerosité est un terme flou aux connotations multiples qui continue de susciter avec raison de nombreuses interrogations tant théoriques que pratiques. Les points de vue du juriste et du psychiatre sont-ils conciliables ? La maladie mentale doit-elle systématiquement irresponsabiliser ? A quelles difficultés se heurte l'expert psychiatre ? Peut-on prévoir et prévenir la dangerosité ? Autant de questions que les auteurs des communications ont tenté d'éclairer dans cet ouvrage qui se veut une première tentative passionnante et pluridisciplinaire pour confronter les approches dans le domaine médical et judiciaire. Un livre qui concerne tous ceux qui dans l'exercice de leur métier sont quotidiennement amenés à réfléchir sur la prévention et la responsabilité pénale.