Roman Disasters looks at how the Romans coped with, thought about, and used disasters for their own ends. Rome has been famous throughout history for its great triumphs. Yet Rome also suffered colossal disasters. From the battle of Cannae, where fifty thousand men fell in a single day, to the destruction of Pompeii, to the first appearance of the bubonic plague, the Romans experienced large scale calamities.Earthquakes, fires, floods and famines also regularly afflicted them.
This insightful book is the first to treat such disasters as a conceptual unity. It shows that vulnerability to disasters was affected by politics, social status, ideology and economics. Above all, it illustrates how the resilience of their political and cultural system allowed the Romans to survive the impact of these life-threatening events. The book also explores the important role disaster narratives played in Christian thought and rhetoric.
Engaging and accessible, Roman Disasters will be enjoyed by students and general readers alike.
Préface de Mary Beard.Traduit de l'anglais par Laurent Bury.Voici enfin un manuel clair pour s'initier à l'art de gouverner ses esclaves à la romaine. Marcus Sidonius Falx, citoyen romain de noble extraction qui partage son temps entre ses propriétés de Campanie, d'Afrique et sa villa romaine, livre ici une multitude de conseils pratiques pour le néophyte : où acheter ses esclaves ? Combien coûtent-ils ? Comment les punir ? Comment les récompenser ? Quelle liberté sexuelle peut-on leur accorder ou se permettre avec eux ? Quand les affranchir ?Pendant des siècles, l'esclavage constitua une institution majeure du monde romain que nul ne songeait à remettre en cause ni à blâmer. Cet ouvrage, nourri d'une multitude de sources originales, explore les pratiques de l'esclavage sous une forme insolite : un récit mené sur un ton alerte par un noble romain, suivi du point de vue, plus grave, de l'auteur, Jerry Toner, pour les lecteurs désireux d'en savoir plus. Ainsi se trouve brillamment éclairées les réalités d'une pratique qu'on croirait à tort éteinte : on compte aujourd'hui dans le monde plus d'individus esclavagisés qu'il n'y en eut à aucun moment dans l'empire romain.