Vous ne faites pas votre âge ! Il a pris un coup de vieux ! Ce n'est plus de son âge.
Des phrases comme celles-là, on en entend tous les jours. Que l'on ait 40, 50, 60, 70 ou 80 ans, chacun a sa propre expérience du vieillissement. Vingt-huit personnalités québécoises âgées de 48 à 98 ans partagent la leur. Sans tabou, à coeur ouvert. Parfois inquiets, parfois sereins, toujours pertinents, ils parlent du bonheur, de la famille, de l'amour, de la solitude, de l'âgisme, de ce qui les anime, de ce que la vie leur a appris.
Tête-à-tête inédits avec des femmes et des hommes inspirants dont les réflexions sur le temps qui passe et les forces de l'âge vous aideront à y voir plus clair et à avancer sur le chemin du vieillissement. À votre façon. Au fait, quel âge avez-vous ?
Roman satirique qui explore le milieu du travail et ses travers, Méchants patrons! relate avec humour les pires expériences d'un groupe de travailleurs autonomes qui se réunissent régulièrement pour partager leurs mésaventures. De cette façon, on suit les amours chaotiques de Jeanne et de Louis et la compétition entre Gilles et Henri, tout en s'immisçant dans les histoires rocambolesques que chacun des membres a vécues au sein des entreprises pour lesquelles il a travaillé. Ainsi, Jeanne évoque la chute d'un président qui n'a pas su répondre correctement à la question d'un journaliste, alors que Gilles fait part de sa difficile collaboration avec un patron que l'alcool rend ingérable durant l'après-midi. Tous issus de milieux professionnels différents, les membres du groupe évoluent ensemble jusqu'à ce que Luc, fidèle participant des réunions, accepte de devenir le patron d'une grande entreprise...
Le nouveau film de Maxime Giroux, Félix et Meira, trône en page couverture de ce numéro de Ciné-Bulles. Avec une virtuosité et une sensibilité semblables à celles du réalisateur, le critique Luc Laporte-Rainville présente ce grand film, qui met en scène une histoire d'amour non conventionnelle entre un héritier francophone excentrique et une jeune mère juive hassidique. De plus, pour marquer la sortie de Deux jours, une nuit, le 9 janvier, on trace le portrait du cinéma des frères Dardenne; on découvre l'exposition Stanley Kubrick: The Exhibition; et on commente plusieurs films à venir sur les écrans, dont The Price We Pay d'Harold Crooks.
Contrairement aux cinématographies américaine et française, le cinéma québécois s'est rarement intéressé à la comédie politique. Pour son plus récent film, Guibord s'en va-t'en guerre (en couverture), le cinéaste Philippe Falardeau se livre à cet exercice pour le moins nouveau, mêlant la satire et l'ironie à des préoccupations sociales. Ciné-Bulles a rencontré pour nous le réalisateur à l'humour fin qui réussit son pari d'équilibriste dans ce créneau casse-cou du rire réfléchi. Le dossier de ce numéro se consacre au documentaire, recueillant les témoignages de quatre cinéastes et s'intéressant au cycle complet de ce genre de cinéma, de la formation à la diffusion en passant par le financement. Côté critiques, la revue analyse entre autres le film-choc The Tribe de Myroslav Slaboshpytskiy et le deuxième long métrage de Mélanie Laurent, le poignant Respire.
Il y a rarement eu plus bel automne cinématographique québécois que celui de 2015. C'est le constat de Ciné-Bulles, qui emplit ses pages d'entrevues et de critiques de films réalisés par des talents d'ici. En couverture, le remarquable Garagiste, un projet dans lequel la scénariste du Ring (2007), Renée Beaulieu, s'est totalement investie. Porté par de magnifiques interprétations, cet émouvant récit confirme la belle entrée en scène d'une cinéaste. Dans un entretien avec Charles-Olivier Michaud, nous découvrons le parcours prolifique de ce cinéaste qui livre avec Anna, en salle fin octobre, son film le plus abouti. Ailleurs dans la revue, la chronique Du livre au film se consacre à Paul à Québec, Zoé Protat livre sa critique du nouveau Anne Émond, Les Êtres chers, et Frédéric Bouchard rencontre Philippe Lesage qui fait un premier saut en fiction avec Les Démons.
Dans ce numéro de Ciné-Bulles, un entretien en primeur avec Mina Shum qui signe le documentaire Ninth Floor sur les événements méconnus survenus à l'Université Concordia en 1969 (autrefois Sir George Williams) alors que des étudiants noirs accusaient un de leurs professeurs de racisme. OEuvre de mémoire qui fait la une de ce numéro. Également au sommaire de cette édition, des entretiens avec les réputés directeurs de la photographie André Turpin et Michel La Veaux qui ont réalisé, respectivement, le long métrage Endorphine et le documentaire Hôtel La Louisiane. Aussi, un retour, sous forme de portrait, sur le cinéma de Paolo Sorrentino, à l'occasion de la sortie de Youth. Et la chronique Histoires de cinéma raconte l'héritage à plusieurs égards du classique The Godfather de Francis Ford Coppola.
À l'image du caractère insaisissable de son sujet, énigmatique à souhait, la couverture de ce numéro de Ciné-Bulles est consacrée au Profil Anima, documentaire de Sophie Deraspe. Une oeuvre « au diapason de la politique internationale et de nos obsessions virtuelles qui génèrent un mystère abyssal, vertigineux, sans fin », selon Zoé Protat qui a analysé le film pour nous. Un entretien de Nicolas Gendron avec la réalisatrice nous convainc de toute la pertinence de ce film. Des entrevues avec Mathieu Denis, réalisateur de Corbo, puis avec Rafaël Ouellet pour son 6e opus, Gurov et Anna, sont aussi au sommaire de cette édition, chacune étant suivies d'un texte critique. Finalement, la chronique « Histoires de cinéma » se penche sur le cinéma de Godard, plus spécifiquement sur Sauve qui peut (la vie), 35 ans après sa sortie.
Les cinéastes mécontents du travail des distributeurs veulent « ouvrir » les VOD (video on demand). Les distributeurs cherchent des salles et les salles tiennent à préserver l'exclusivité de leur première fenêtre ou manquent de films, faute d'acquisitions. Et les cinéphiles amoureux du grand écran, déplorent son accès limité et se replient sur la VOD... La diffusion du cinéma d'auteur se transforme. Pour tenter d'y voir plus clair, Ciné-Bulles donne la parole à une foule d'acteurs de ce milieu, des créateurs aux télédiffuseurs en passant par les distributeurs et les exploitants, sans oublier les cinéphiles! Un dossier riche en points de vue qui offre un inspirant tour d'horizon. Hors dossier, deux textes sur Juste la fin du monde de Xavier Dolan (en couverture), un hommage à Andrej Zulawski, décédé récemment, et les critiques de Love (Gaspar Noé), High-Rise (Ben Wheatley) et de Mia Madre (Nanni Morretti), entre autres.
Une jeune fille, le visage masqué. Dans sa main, hors cadre, un cocktail Molotov... Ceux qui font les révolutions à moitié n'ont fait que se creuser un tombeau, ce film qui interroge les lendemains qui déchantent du printemps érable, a non seulement le plus beau titre de cette année cinéma qui débute, mais s'avère en outre monumental, intelligent, nécessaire. En entrevue, ses créateurs Mathieu Denis et Simon Lavoie s'étendent sur leurs sujets préférés : l'art et l'engagement politique. Également au sommaire de ce Ciné-Bulles d'hiver, deux autres entretiens avec des réalisateurs, Karl Lemieux (Maudite poutine) et Philippe Lioret (Le Fils de Jean). La rubrique « Du livre au film » s'enrichit de deux nouvelles adaptations cinématographiques : Mademoiselle de Park Chan-wook et Mal de pierres de Nicole Garcia. Un texte fouillé de Catherine Lemieux Lefevbre nous conte le mythe de Cléo de 5 à 7 d'Agnès Varda. Côté critiques, un retour sur Arrival ainsi qu'un avant-goût de deux films-événements de l'hiver : le québécois Nelly et l'allemand Toni Erdmann.
En couverture du numéro d'hiver de la revue Ciné-Bulles, trouvez Close de Lukas Dhont. Frédéric Bouchard s'est entretenu avec le cinéaste flamand et Olivier Tremblay, nouveau collaborateur, signe la critique du long métrage racontant l'histoire d'une amitié qui dérange entre deux gamins. Le numéro propose deux autres entretiens, l'un entre Miryam Charles réalisatrice de Cette maison et Martin Gignac, l'autre entre Michel Coulombe et Marianne Farley, réalisatrice d'Au nord d'Albany. Charles-Henri Ramond et Orian Dorais signent les critiques des deux films qui mettent de l'avant des personnages féminins complexes dans des situations sensibles. Au sommaire, trouvez également des articles sur deux suspenses, Pacifiction d'Albert Serra et L'origine du mal de Sébastien Marnier, puis du côté des documentaires, des textes sur Ennio de Giuseppe Tornatore qui se penche sur le musicien Ennio Morricone, célèbre pour ses trames sonores de films, ainsi qu'All the Beauty and the Bloodshed de Laura Poitras, consacré à la photographe et activiste Nan Goldin. Enfin, la rubrique Histoire de cinéma présente un essai de Nicolas Gendron sur Léolo, film du regretté réalisateur Jean-Claude Lauzon. Le numéro est complété par de brèves critiques de sorties récentes et quelques recensions de livres sur le cinéma.
L'édition hivernale de Ciné-Bulles met de l'avant Luc Bourdon et son oeuvre de montage La Part du diable portant sur le Québec des années 1970 et réalisée à partir d'extraits de 200 films de l'ONF. Michel Coulombe s'est entretenu avec le cinéaste et Nicolas Gendron signe le commentaire critique de cet opus qui sortira en février. Également à l'avant-plan, lisez des critiques de The Square de Ruben Östlund et The Killing of a Sacred Deer de Yorgos Lanthimos. Ciné-Bulles se penche aussi sur l'exposition Il était une fois... le western - Une mythologie entre art et cinéma présentée au Musée des beaux-arts de Montréal, et constate qu'à trop embrasser, mal on étreint. Suivent un entretien avec Catherine Martin, réalisatrice de Certains de mes amis, et un retour sur Pather Panchali de Satyajit Ray. Blade Runner 2049 de Denis Villeneuve fait également l'objet d'une riche et pertinente analyse par Jean-Philippe Gravel.
En couverture du numéro printanier de la revue Ciné-Bulles, un clocher d'église, quelques maisons, un village québécois pareil à cent autres. Vraiment ? En couverture figure le village de Saint-Ubalde, visage d'un comité de 13 citoyens solidaires et de leur démarche de parrainage d'une famille de réfugiés syriens que les documentaristes Nadine Beaudet et Christian Mathieu Fournier ont suivi et dont ils ont tiré La Maison des Syriens. Nicolas Gendron les a rencontrés pour discuter de ce film-témoin écrit « à l'encre de la fraternité. » Puis, au coeur du numéro, trois films français : L'Apparition par Xavier Giannoli, Jusqu'à la garde de Xavier Legrand avec lequel Ambre Sachet s'est entretenue, puis L'Atelier de Laurent Cantet, mis en perspective avec la filmographie du cinéaste dans un riche portait par Jean-Philippe Gravel. Aussi au sommaire, la première entrevue de la nouvelle rubrique Grand entretien avec le directeur photo Pierre Mignot et un retour sur Ivan le Terrible de Sergueï Eisenstein par Zoé Protat.
Le Ciné-bulles de l'été 2018 présente en couverture BlacKkKlansman, plus récent film de Spike Lee. Inspiré d'un fait divers, il raconte l'infiltration d'un policier noir dans une cellule locale du Ku Klux Klan, au Colorado, dans les années 1970. Cette improbable prémisse est le prétexte à une oeuvre forte, à mi-chemin entre la satire subversive et le film politique. Suit la rubrique « Du livre au film », consacrée à La Douleur d'Emmanuel Finkiel, adapté d'une nouvelle de Marguerite Duras. Le coeur du numéro estival est toutefois le dossier d'une quarantaine de pages sur les 50 ans de 1968, année de cinéma importante partout dans le monde (Europe, États-Unis, Québec, etc.).
Dans ce numéro : une longue entrevue de Nicolas Gendron avec Xavier Dolan sur Mommy (6 pages), sans doute LE film québécois de l'année 2014; un dossier exclusif de 18 pages sur le rayonnement international du cinéma québécois (un article sur les rôles de la SODEC et de Téléfilm Canada; un entretien de 6 pages de Michel Coulombe avec Anick Poirier de Séville International sur la vente des films québécois à l'étranger; un texte de 9 pages de Nicolas Gendron sur les expériences de cinéastes dans les festivals internationaux avec la participation de Denis Côté, Bernard Émond, Stéphane Lafleur, Anaïs Barbeau-Lavalette, Philippe Falardeau et Anne Émond; le point de vue des programmateurs de Sundance et de Tribeca sur le cinéma québécois récent). Dans la chronique Histoires de cinéma, Jean-François Hamel redit l'importance du film L'Avventura de Michelangelo Antonioni (6 pages). Et Christian Nadeau signe le texte « L'universel et le singulier » en abordant les 3 Histoires d'Indiens sous l'angle du Cinéma et philosophie. Également, un texte sur l'exposition Image x Image - Le cinéma d'animation à l'ONF et des critiques des films Le Mystère MacPherson, My Sweet Pepper Land, Bidonville..., Yves Saint-Laurent et plusieurs autres.
En couverture de ce numéro, Avant les rues, premier long métrage de Chloé Leriche, qui jette un regard sur la culture méconnue des Atikamekws. Ciné-Bulles propose un entretien en primeur avec la réalisatrice. La sortie de la biographie de Claude Jutra par Yves Lever a créé tout un émoi au Québec. Une entrevue avec l'auteur, la plus exhaustive publiée jusqu'à présent, permet d'en apprendre davantage sur les intentions de Lever ainsi que son immense travail de recherche. Aussi au sommaire de ce numéro, des hommages aux réalisateurs Ettore Scola et Jacques Rivette ainsi qu'à David Bowie, tous trois disparus en janvier dernier, un entretien avec Louis Bélanger pour son nouveau film Les Mauvaises Herbes et la chronique Histoires de cinéma sur le grand classique du comique de Jacques Tati, Playtime.
« Sujets casse-gueule, paris réussis », c'est non seulement le titre du mot de la rédaction qui ouvre l'édition automnale de Ciné-bulles, mais aussi un excellent résumé des films couverts dans ce numéro. En effet, Barbara de Mathieu Amalric, un biopic pas comme les autres sur une chanteuse du même acabit et le documentaire DPJ de Guillaume Sylvestre, incursion en douceur dans une institution où le quotidien des travailleurs est fait de moments déchirants, constamment sur la corde raide, relèvent avec brio les défis que leur sujet pose. Destierros d'Hubert Caron-Guay, documentaire sur les migrants d'Amérique du Sud qui, passant par le Mexique, cherchent à atteindre les États-Unis ou le Canada, est de la même trempe. Le numéro propose aussi, entre autres, une critique du film 120 battements par minute de Robin Campillo, de Lucky de John Carroll Lynch et un article de fond sur Stalker d'Andreï Tarkovski.
À la une de l'édition printanière de la revue Ciné-Bulles, Les Nôtres, drame psychologique de Jeanne Leblanc à l'affiche dès le 13 mars. Lisez l'entrevue avec la réalisatrice et le commentaire critique du film. Retrouvez aussi dans ce numéro un entretien avec Podz autour de son plus récent film Mafia Inc. et un autre avec Éric Tessier, réalisateur de Tu te souviendras de moi, ainsi que des commentaires critiques des films abordés. La rubrique Avant-Plans présente C'est ça le paradis ? d'Elia Suleiman et Brumes d'Islande de Hlynur Pálmason. La rubrique Portrait, elle, propose un tour d'horizon du cinéma d'Arnaud Desplechin, alors que la rubrique Histoire de cinéma est consacrée à Cruising de William Friedkin. Enfin, retrouvez plusieurs critiques brèves de films récemment sortis dont 1917 de Sam Mendes, Dieu existe, son nom est Petrunya de Teona Strugar Mitevska et Les Hirondelles de Kaboul de Zabou Breitman et Éléa Gobbé-Mévellec.
C'est le film Souterrain de Sophie Dupuis qui se trouve à la une du numéro d'automne de la revue Ciné-Bulles. Lisez un entretien où elle détaille entre autres sa démarche de réalisation, et un commentaire critique du film. Pour cette édition, les membres de la rédaction vous a concocté un dossier spécial consacré à leurs cinéastes préférés. Laissez-les vous raconter comment Charles Chaplin, Louis Malle, Brian De Palma, Hayao Miyazaki, Denys Arcand, Robert Guédiguian, Andrea Arnold, Noah Baumbach et Jayro Bustamante les ont marqués. Également au sommaire, Coal Miner's Daughter de Michael Apted dans la rubrique Histoire de cinémas et le travail des preneuses de son, à découvrir, dans la rubrique Métiers.
En couverture du numéro d'automne de la revue Ciné-Bulles, retrouvez Antigone, adaptation des pièces classiques de Sophocle et Anouilh, et cinquième long métrage de la cinéaste Sophie Deraspe. Marie Claude Mirandette s'est entretenue avec elle et Ambre Sachet passe à la loupe le travail d'adaptation dans son commentaire critique. Deux autres entretiens sont au sommaire : un d'André Forcier par Michel Coulombe pour la sortie du film Les Fleurs oubliées et l'autre de Myriam Verreault par Ambre Sachet pour Kuessipan. Sur le plan rétrospectif, redécouvrez Jésus de Montréal, 30 ans après sa sortie, un portrait de la filmographie de Quentin Tarantino et l'histoire du travail collectif ayant mené en 1981 au succès du film Les Plouffe de Gilles Carle. Le numéro comprend aussi des critiques de Parasite, Aquarela, Douleur et Gloire, La Fille du cratère, L'Heure de la sortie, The Last Black Man in San Francisco, Matthias et Maxime, Midsommar et Soleils noirs
En couverture de l'édition hiver 2021 de la revue Ciné-Bulles, retrouvez CHSLD, mon amour du documentariste Danic Champoux. Nicolas Gendron s'est entretenu avec le cinéaste et Ambre Sachet signe le commentaire critique. Lisez aussi deux autres entretiens, l'un entre Ky Nam Le Duc réalisateur du Meilleur Pays du monde et Michel Coulombe et l'autre entre Kim O'Bomsawin, réalisatrice du documentaire Je m'appelle humain coréalisé avec la poétesse innue Joséphine Bacon et Catherine Lemieux Lefebvre. Aussi au sommaire, un portrait du cinéma d'Alejandro González Iñárritu, un retour sur The Deer Hunter dans la rubrique Histoire de cinéma et le métier de scénariste pratiqué par des femmes.
Dans ce numéro : pour la sortie du sublime De rouille et d'os, Nicolas Gendron, sur 6 pages, passe en revue la filmographie du remarquable cinéaste qu'est Jacques Audiard. Huit pages sur Catimini dont un long entretien avec sa réalisatrice, Nathalie Saint-Pierre. Un texte détaillé sur le travail des cinéastes d'animation Quay à l'occasion de l'exposition au MoMA : Quay Brothers : On Deciphering the Pharmacist't Prescription for Lip-Reading Puppets. Dix pages - un texte exclusif - sur les guides de scénarisation. Des analyses de la filmo d'Alain Resnais sous l'angle de son approche théâtrale et des oeuvres Le Torrent et The Master. Aussi, des textes sur les films The End of Time, Amour, Life of Pi, A Late Quartet, À perdre la raison, Après la neige, Avant que mon coeur bascule, Dans la maison, Ésimésac, Frankenweenie, Le Horse Palace, Les Manèges humains, Thérèse Desqueyroux.
Dans ce numéro : premier entretien (6 pages) accordé par François Delisle pour son film Le Météore, véritable oeuvre d'art dont les cinéphiles ne peuvent se priver. De fines analyses de 4 pages chacune sur les films Enfance clandestine, Anna Karénine et Beasts of the Southern Wild. Côté documentaire, un entretien de 7 pages avec Marie-Geneviève Chabot pour En attendant le printemps et un texte sur Laylou de Philippe Lesage. À lire également, un texte de 8 pages sur le cinéma de Steven Soderbergh au moment où le talentueux cinéaste parle de retraite... cinématographique. Autres sujets : Marc Béland raconte son expérience sur le film La Cicatrice de Jimmy Larouche et des textes critiques sur No, Barbara, Finissant(e)s, Journal de France, Liaison Royale, La Pirogue, Promised Land, Roche papier ciseaux, Searching for Sugar Man, Zero Dark Thirty.
Dans ce numéro : Entretiens en primeur avec Éric Morin (6 pages) et Sophie Desmarais (4 p.) pour le film québécois surprise de l'année 2013, Chasse au Godard d'Abbittibbi + commentaire critique. Entretien avec Danic Champoux (6 p.) pour Autoportrait sans moi, sans doute le meilleur documentaire québécois de 2013. Publié avant les RIDM, ce numéro propose aussi un entretien fleuve avec Roxanne Sayegh et Charlotte Selb, sorte d'état des lieux de l'organisation (8 p.). Aussi, découvrez une fine analyse du film Spring Breakers (4 p.). Également des textes critiques sur : Carré rouge sur fond noir, Le Démantèlement, Grand Central, Tom à la ferme, La Vie d'Adèle chapitres 1 & 2 et L'Autre Maison. Plus la section Critiques et la section Livres.
Ce numéro, sorti le 11 décembre 2013, présente 12 Years a Slave en couverture : un texte de 4 pages qui met le plus récent film de Steve McQueen en perspective avec ses précédentes oeuvres. Puis, en primeur : 8 pages sur Arwad dont un entretien avec les réalisateurs. Et en exclusivité, un dossier sur le 50e anniversaire de la Cinémathèque québécoise (un entretien de 6 pages avec le directeur de la programmation et 8 pages sur les collections de l'institution). Aussi, au sommaire : un hommage à Michel Brault (6 pages) et des critiques des films L'Image manquante, Diego Star, La Grande Bellezza, La Passé, Dallas Buyers Club, etc.