Sans patriarcat, la valeur des femmes et de celleux qui ont une vulve ne dépendrait pas de la taille de leurs seins, de leurs fesses ou de leurs cuisses.
Sans patriarcat, l'acte sexuel ne tournerait pas autour de la pénétration.
Sans patriarcat, les hommes pourraient pleurer et exprimer leurs émotions sans honte. Sans patriarcat, il ne m'aurait pas violé·e.
Dans nos lits. Dans nos amitiés. Dans nos miroirs. Dans nos bureaux. Femme, homme, personne non binaire, intersexe, cisgenre, transgenre et minorités de genre.
Le patriarcat est partout et nous avons toujours vécu avec. Et si pour mieux comprendre ses conséquences et son influence, nous imaginions un monde sans ?
À travers cet essai pédagogique, l'autrice offre une véritable porte d'entrée dans le féminisme et dresse le tableau de la société patriarcale actuelle (conditionnement et constructions sociales, contrôle des corps, violences...), de ses conséquences délétères et de tous les rouages mis en place pour en assurer la pérennité.
Une projection nécessaire pour une prise de conscience aiguë et, enfin, avancer vers un monde sans patriarcat.
Mathilde Morrigan est la créatrice de @withoutpatriarchy, compte Instagram qui réunit de plus en plus de féministes pour participer à la révolution du patriarcat. Avec son contenu engagé et engageant, cette jeune Marseillaise propose d'en apprendre plus sur la cause féministe et ses enjeux. Son compte bienveillant et sa pédagogie accompagnent la déconstruction de ses abonné·es.
En 2020, un sondage révèle que 40 % des moins de 50 ans ont déjà subi des attaques répétées sur les plateformes sociales en ligne, dont 22 % ayant entre 18 et 24 ans (Statista Research Department). Cyberharcèlement en meute, slut shaming, revenge porn, dick pic, cyberflashing, chantage à la cam, comptes fisha... nombreuses sont les formes de cybersexisme et de cyberharcèlement que l'on retrouve sur les réseaux sociaux.
Un harcèlement qui peut avoir des conséquences désastreuses sur la victime : humiliation sociale, repli sur soi, dépression, certaines victimes vont jusqu'au suicide. Il est important de lutter contre cette forme de violence et de sensibiliser les plus jeunes.
C'est ce que s'efforce de faire le collectif Stop Fisha qui a vu le jour durant le premier confinement : ces femmes traquent, dénoncent les comptes fisha et veillent sur les réseaux. Elles apportent également un soutien aux victimes, une aide à la fois psychologique et juridique.
À travers cet ouvrage, elles souhaitent offrir un véritable guide pour tous, et notamment les plus jeunes, afin de sensibiliser et d'informer. Elles livreront des définitions, les droits de chacun.e, des témoignages et de nombreux conseils pour se protéger, s'en défendre et y faire face.
L'association Stop Fisha s'est créé en urgence en mars 2020. Ce collectif regroupe une vingtaine de femmes entre 16 et 50 ans dont la seule mission est de lutter contre le cyber sexisme et le cyberharcèlement. Dans ce collectif, nous retrouvons l'avocate pénaliste Rachel-Flore Pardo.
« Les garçons, une bière ? », « Tu mets trop de temps à te préparer », « Ce sont des trucs de bonnes femmes », « C'est qui cette coquine ? », « Est-ce qu'elle a un Jules ? », « On ne peut plus rien dire »...
À travers vingt phrases, susceptibles d'être entendues au quotidien et bien souvent dites par nos pères, Fanny Anseaume soulève de nombreuses problématiques au coeur du débat post-MeToo.
Loin d'être un texte à charge, l'autrice aborde le féminisme avec la tendresse d'une fille s'adressant à son père, tend à renouer le dialogue et à créer un lien générationnel grâce à la pédagogie et aux retours d'expériences.
Un livre à mettre entre toutes les mains pour comprendre les luttes féministes et les écarts générationnels.
Biographie de l'autrice :
Fanny Anseaume est une jeune femme de trente ans qui, après quelques années à travailler dans la mode, a voulu prendre une autre voie. Étudiante en sociologie, féministe convaincue mais toujours en construction, elle souhaite partager un peu de son expérience pour peut-être ouvrir des discussions.
Un problème de santé publique
Selon une enquête de santé publique de février 2019, 23 % des femmes de 18 à 75 ans boivent entre une à six fois par semaine (contre 37 % des hommes), une augmentation significative de 4 points depuis 2014. De plus, 36 % des membres des Alcooliques Anonymes sont des femmes.
Ce livre aborde l'addiction et ses multiples facteurs chez les femmes et évoque les traitements existants et les autres addictions qui peuvent rejoindre l'alcoolisme (tabac, cocaïne, etc.). Avec le témoignage d'une dizaine de femmes anonymes.
Le spécialiste français de l'addiction
Le Professeur Laurent Karila est médecin psychiatre, spécialiste des addictions. Il exerce à l'hôpital Paul Brousse. Il est spécialisé dans l'addictologie et il est le porte parole de l'association SOS Addictions. Enseignant à l'université Paris Sud, conférencier, il est l'auteur de nombreux ouvrages dont Accro, Tous addicts et après ?, Votre plaisir vous appartient, Les Addictions, Une histoire de poudre.
Préface de Marie de Noailles. Elle découvre la drogue à 13 ans, et finira par sombrer dans l'addiction. À trente ans, elle parvient à se soigner, et décide de devenir psychologue, spécialisée dans les addictions. Elle soigne désormais des patients venant du monde entier pour la rencontrer. Son livre Addict, s'est vendu à 8 000 ex.
Confidences d'une jeune sage-femme
Un jour ordinaire pour une sage-femme, c'est l'extraordinaire sans cesse répété.
Des naissances particulières, des rencontres avec des jeunes mères émerveillées, des femmes enceintes inquiètes en consultation, sans oublier ces « nouveaux pères »... Le quotidien d'une sage-femme est extraordinaire, chaque nouvelle journée, unique.
Tel un journal intime, Anna Roy nous livre à travers des histoires vécues inoubliables, tantôt drôles, tantôt émouvantes, des bribes de son quotidien, la réalité des naissances. Elle nous fait revivre page après page le miracle de la vie.
Une lecture que vous n'oublierez pas de sitôt.
" J'ai dû guérir d'un mal profond. Un mal silencieux détecté à la suite d'une fausse couche. L'endométriose. Après la colère, est venu le deuil de la maternité. Puis l'acceptation. Et dans l'acceptation, la compréhension de mon histoire. Pourquoi moi ? C'est alors que la maladie m'a ouvert les yeux sur cette féminité que j'avais négligée malgré moi. "
Auteure, compositrice, slameuse et poète, Estelle Penain retrace dans cet ouvrage ce qu'elle considère comme le plus beau voyage de sa vie, la reconquête de son féminin, et nous enseigne que faire la paix avec soi-même, c'est faire la paix avec le monde. À travers son témoignage inspirant, elle nous prend par la main et nous ouvre le chemin de notre guérison.
« Merci à Estelle pour cette déclaration de libération et d'amour. À lire, à chanter, à claironner ! » Lise Bartoli, psychologue clinicienne, psychothérapeute, hypnothérapeute et auteure
« Un témoignage bouleversant. Une leçon de vie et de liberté. » Caroline Ithurbide, journaliste et animatrice
« Un puissant cadeau qui nous guide vers notre propre lumière intérieure. Chère Estelle, MERCI. » Johanne Toledano, comédienne et auteure
« Un parcours riche en enseignements universels. » Anne Cazaubon, auteure, journaliste en développement personnel et conférencière
« Un témoignage fort et intense qui nous emmène dans les coulisses de notre être. » Céline Anaya Gautier, auteure et photographe
Peut-on détacher l'histoire de l'école française d'un système systémique de discrimination et de contrôle social ? L'institution scolaire peut-elle vraiment être source d'émancipation pour tous ? Est-elle une voie de libération ou, au contraire, un outil de maintien de l'ordre social ?
L'autrice, enseignante, ancienne élève, mère d'une petite fille en début de scolarité, constate : l'école publique doit changer pour avoir un réel impact sur notre construction. Et pour cela, il est important de déconstruire le système installé depuis longtemps.
Cet essai s'ouvre sur des échanges avec des élèves, bouleversants pour notre autrice, qui soulèvent de nombreuses problématiques : l'universel, le neutre et le particulier... quand l'école assoit des discriminations systémiques : la question du genre, le sexisme, l'exclusion des familles, le discours de « laïcité » et de racisme, la conception des savoirs...
Le corps reste à la porte : les élèves et le personnel sont vus comme des sujets neutres, désincarnés. Un contrôle des corps, une réduction de l'estime de soi, la souffrance des profs comme outil de contrôle social et perpétuation du système.
Ce témoignage est consacré aux oppressions de genre, de race et de classe au sein de l'Éducation nationale, à partir d'une expérience personnelle, d'échanges avec les élèves et d'entretiens, afin de questionner les dynamiques hiérarchisantes et discriminantes de l'institution.
Yuna Visentin est mère et enseignante, elle nous livre ici son constat de l'Éducation nationale, à la fois pour pointer du doigt un système problématique, et nous livrer sa vision d'une éducation libératrice, démocratique et inclusive.
Que diriez-vous si vous pouviez recadrer tonton Robert connus pour ses opinions antiféministes lors des repas de famille rien qu'avec une petite anecdote méconnue, le tout en brillant par votre intelligence ?
Dans une période où le féminisme imprègne de plus en plus notre manière de penser, l'autrice propose de traiter les grands sujets du féminisme par le biais des petites histoires qui ont forgé la grande.
Savez-vous qui est Ada Lovelace ? Cette mathématicienne a créé le tout premier programme informatique à la fin du 19e siècle, sans elle pas d'ordi. Saviez-vous que des médecins ont voulu interdire l'utilisation de la machine à coudre mécanique pour les femmes, qu'ils soupçonnaient se masturber dessus ?
Ce livre retrace différentes histoires, faits inconnus sur les femmes d'hier et d'aujourd'hui, des anecdotes farfelues qui ont contribué à asseoir le patriarcat ; le tout avec sarcasme et humour, parce que l'humour est nécessaire pour affronter le futur et abolir l'Histoire des hommes.
Après des études de droit dans le but de mieux comprendre le monde et les réalités, Sabrina Erin Grin décide de vulgariser sur son compte Instagram, Olympe Rêve, le droit des femmes. Aux côtés d'autres militantes, Sabrina a saisi la Défenseure des droits afin de dénoncer les discriminations que subissent les féministes sur Instagram. Elle est également l'une des co-créatrices du hashtag militant #NotAllMenReally ; l'objectif : libérer la parole des femmes et des minorités sur la multiplication des violences sexuelles et sexistes subies dans une vie.
La vague féministe déferle sur les réseaux sociaux, explose dans le monde du travail et pousse de plus en plus de femmes dans les rues (manifestations, collages...). Mais qu'en est-il de l'intime ?
Est-ce que les notions féministes réussissent réellement à pénétrer la solide bulle du couple ? Est-ce que nous parvenons, après #metoo, à construire autrement notre couple, notre sexualité, et à dissoudre la notion obsolète de devoir conjugal ?
Ce terme de "devoir conjugal", entendu dans le sens commun comme l'idée de devoir à son partenaire des relations sexuelles régulières, a évolué au fil du temps et a recouvert différentes réalités (institution du mariage, rôle de la reproduction, légifération de la sexualité, moralisation de la sexualité...), et si ce terme semble aujourd'hui désuet, la sexualité contemporaine est pourtant porteuse de cet héritage.
Après une contextualisation historique et juridique, l'autrice interroge le couple à travers de nouvelles réalités et celles héritées : sexualité, consentement, morale sexuelle, viol conjugal, charge sexuelle, mariage...
Après #metoo, le devoir conjugal est-il toujours d'actualité ?
Fanny Anseaume est une jeune femme de trente ans qui, après quelques années à travailler dans la mode, a voulu prendre une autre voie. Étudiante en sociologie, féministe convaincue mais toujours en construction, elle souhaite partager un peu de son expérience pour peut-être ouvrir des discussions. Elle est l'autrice de Tu ne vas pas sortir comme ça ? - Le féminisme expliqué à mon père.