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Hugo Roman
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Toute vériTé n'est pas bonne à direLa vie a toujours souri à Verity Crawford.ses livres font d'elle une auteur star, sa maison du Vermont est splendideet elle forme avec Jeremy, son mari, un couple parfait. Mais un jour, sur une route, son rêve tourne au cauchemar. L'accident l'empêche d'écrire, transforme sa trop grande maison en prison, et menace de l'éloigner de Jeremy. La vie n'a jamais été tendre avec Lowen ashleigh.ses livres ne rencontrent qu'un accueil poli, ses finances sont au plus mal et ses histoires d'amour sont des feux de paille. Jusqu'à ce que Jeremy la recrute pour devenir le ghostwriterde Verity et terminer à sa place sa série à succès. pour Lowen, aussi incongrue que soit la proposition, l'occasion est beaucoup trop belle pour ne pas la saisir. et Jeremy beaucoup trop séduisant pour qu'elle lui dise non. Mais en découvrant, dans les papiers de Verity, ce qui semble être son autobiographie, Lowen va voir se dessiner, page après page, le portrait d'une femme épouvantable, prête au plus atroce des crimes pour ne pas perdre ce qu'elle a, et prompte à toutes les perversités lorsqu'elle se sent menacée.et aux yeux de Verity, Lowen est désormais une menace.
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« UN TWIN PEAKS À LA FRANÇAISE, RARE ET INTENSE »Olivier Norek, à propos de DouveDepuis Douve, ça ne va pas fort du côté d'Hugo Boloren. Sans la petite bille qui fait « ding » pour lui dévoiler une piste, il erre dans le commissariat, limite neurasthénique, au grand dam de Lulu la nouvelle stagiaire. Même ses carrés de chocolat échouent à le remettre d'aplomb. Bref, il est temps de changer d'air.
Ça tombe bien : le commissaire Grosset a obtenu pour la mère d'Hugo un rendez-vous dans la clinique lilloise d'un grand spécialiste de la maladie d'Alzheimer. Alors en voiture pour Lille !
Et tiens, coïncidence : la veille du départ, Boloren entend à la radio qu'un enfant d'une dizaine
d'années, Jimcaale, vient de se faire agresser dans la plus grande décharge publique de France,
coincée à la frontière franco-belge et jouxtant un étonnant bidonville.
L'instinct d'Hugo lui murmure d'aller jeter un oeil et Grosset, quoiqu'à contrecoeur, le met en contact avec le duo d'inspecteurs lillois : Desreumaux, qui porte des costumes trop grands pour se donner l'air moins jeune, et Lasselin, surnommé « le Messie » parce que, lorsqu'il interroge les suspects, « il fait parler les muets et redonne la vue aux aveugles. »
Et les suspects, ce n'est pas ce qui manque dans cette « terra nullius » (un territoire sans maître)
dont la Belgique et la France se renvoient la responsabilité : Manie, cheffe autoproclamée de ce camp, Narong Vacarme son chambellan, la Vieille Sara, le Hippie sage, Hafsa et Pran, Maman Jeanne et Papa Germain tous liés au camp et à la décharge, tous liés à Jimcaale et au mystérieux trésor qu'il prétendait avoir trouvé quelques jours avant sa mort. Sans parler d'un étrange « trimoin », ainsi baptisé parce que trois fois témoin dans trois affaires de meurtres sans aucun lien, ni du très médiatique cuisinier vedette de « Toque Toc », l'émission culinaire la plus regardée de France
Bref, « le problème dans cette affaire, ce n'est pas le nombre de pièces dans le puzzle, c'est le nombre de puzzles ». Avec l'aide de sa bille qui revient enfin mettre de l'ordre dans son cerveau, Hugo Boloren va découvrir peu à peu les liens invisibles, révéler les mystères et secrets qu'on cherche à lui cacher, jusqu'à la résolution effroyable de l'affaire criminelle la plus sordide de sa carrière. -
« Ghislain Gilberti est un écrivain stratosphérique : bienvenue dans le monde maléfique de l'un des plus grands auteurs de polars contemporains. »Gérard Collard, La Griffe noireAu commencement, il y eut un enfant. Le petit Gabin Schwartz. Six ans. Son corps retrouvé dans un parc. Exsangue. Puis ce fut un agriculteur. Enterré vivant. Son index désignant le ciel. Puis un marchand ambulant, écrasé sous son stock. Sale baptême du feu pour Seth Kohl, le chef du groupe chargé de l'enquête à la Brigade criminelle du SRPJ de Versailles. Comment avancer quand rien ne relie les victimes entre elles ? Alors que les corps s'accumulent, un lien se dessine enfin, inattendu, fragile et incomplet : le tueur pourrait bien s'inspirer des Danses macabres, ces fresques que l'on retrouve dans les vieilles églises, ou dans les bibliothèques des collectionneurs. Mais chaque série de tableaux est différente. Laquelle est la bonne ? Le temps presse, et Seth Kohl est assailli par ses propres démons, qui l'invitent eux aussi à quelques pas de danse avec la mort
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Le dernier procès de Victor Melki
Sandrine Destombes
- Hugo roman
- Thriller
- 7 Octobre 2021
- 9782755691795
Une enquête de la commissaire Maxime TellierLa commissaire Maxime Tellier est en disponibilité depuis plusieurs semaines quand un messager anonyme la convie à l'enterrement d'un homme que personne ne semble connaître et encore moins regretter. D'autres messages s'ensuivent et elle se retrouve à remonter la piste d'une organisation décidée à repousser les limites du système judiciaire. Chaque coupable mérite une peine exemplaire et si la justice ne les condamne pas, certains sont prêts à tout pour y remédier. N'ayant plus les moyens officiels de mener une enquête, la commissaire fait appel au capitaine de gendarmerie Antoine Brémont, expert en profilage, pour sauver la prochaine cible de ces justiciers. Mais dans cette affaire, deux folies s'affrontent, et Max devra déterminer qui sont les coupables et qui sont les victimes.
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UN VILLAGE PERDU AU MILIEU DES SAPINS ; DEUX MEURTRES QUE QUARANTE ANS SÉPARENT ; UN GAMIN QUI A "DOUVE DANS LES VEINES". Le gamin a Douve dans les veines.Cette phrase, prononcée par son père quand il n'était encore qu'un enfant, l'inspecteur Hugo Boloren ne l'a jamais oubliée. Alors quand il apprend qu'un meurtre a eu lieu à Douve, il y voit un signe. Son père est mort, l'Alzheimer a dilué les souvenirs de sa mère ; c'est sa dernière chance de comprendre en quoi ce village perdu au milieu d'une forêt de sapins lui coule dans les veines. Tout ce qu'il sait, c'est que son père, policier lui aussi, a été envoyé à Douve il y a quarante ans pour enquêter sur la fuite médiatisée d'un Islandais accusé de meurtre, et que sa mère, journaliste, l'a accompagné pour écrire un livre sur l'affaire. Que s'est-il passé là-bas et pourquoi ont-ils toujours refusé d'en parler ? Armé du livre écrit par sa mère, Hugo Boloren va plonger dans ce village peuplé d'habitants étranges, tous unis par un mystère qui semble les hanter. Au fil de son enquête, une question va bientôt s'imposer : et si le meurtre qui a récemment secoué le village était lié au séjour de ses parents, quarante ans plus tôt ?
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QUAND LA VENGEANCE EST PLUS FÉROCE QUE LE CRIME TREMBLEZ POUR VOS FILS... Gaza, 2001 Un enfant est abattu en direct, devant des caméras, lors d'un accrochage entre Palestiniens et soldats israéliens. Des deux cés, certains crient au complot. Beyrouth, 2002 Un chef de faction impliqué dans la mort du petit garçon de Gaza est assassiné. 2022 Trois meurtres de sniper. Le premier, dans le delta du Tigre, en Argentine. Le deuxième, à Saint-Pierre-et-Miquelon. Le troisième, dans les calanques, du cé de Marseille. Chaque fois, les victimes sont des enfants. Chaque fois, le tireur abandonne son arme. Avec trois munitions non tirées, marquées des lettres TFS. Très vite, il apparaît que les grand-pères des victimes ont en commun un passé militant agité. L'un dans les factions libanaises au Proche-Orient, l'autre comme armurier de l'ETA basque, le troisième au sein de la mouvance palestinienne. Chargé des deux premières enquêtes par le « Service », l'agent Karakozian, dit Kara, va devoir remonter le cours de l'histoire. Au risque de se retrouver lui aussi la cible d'une vengeance féroce, aveugle, impitoyable.
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Un aller pour l'enfer sans promesse de retour.Une île peuplée de criminels, une infiltration risquée, des âmes à sauver. Comment continuer à exercer son métier quand on ne croit plus en la justice de son pays ? L'adjudant Joy Morel est en plein doute professionnel quand elle est appelée pour une mission secrète. Elle doit se rendre sur une île perdue où s'érige un ancien hôpital psychiatrique au coeur d'une forêt hostile. Pour pallier le manque de place en prison, le gouvernement a fait le choix d'y envoyer les pires criminels : psychopathes, cannibales, nécrophiles et de les y laisser s'autogérer en totale liberté. Chloé, psychocriminologue venue sur l'île sous couverture pour mener une étude, et Rod, l'agent chargé de la protéger, ne donnent plus signe de vie. Pour espérer les sauver, Joy et son collègue Hoche doivent à leur tour intégrer cette communauté infernale en se faisant passer pour des détenus. Dans cette île où les moyens de communication sont inexistants et où les criminels sont livrés à eux-mêmes, le danger est partout. Extrait : « L'île dont nous parlons est une île abandonnée qui a autrefois accueilli un grand centre psychiatrique, mais des événements ont fait fuir les habitants. Vous voulez dire que cet hôpital psychiatrique est devenu une prison ? cherche à comprendre Joy. Pas exactement, rétorque toujours le même homme. C'est de l'île dont nous avons fait une prison. Comment les détenus sont-ils surveillés dans une telle configuration ? s'interroge Hoche. Ils ne le sont pas. »
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HUGO BOLOREN À NEW YORK
PAR L'AUTEUR DE TERRA NULLIUS, PRIX LE POINT DU POLAR EUROPÉEN 2022
Marcel Marchand, excentrique espion des services secrets français, est assassiné par des agents de la CIA dans l'immense réserve d'accessoires d'un célèbre théâtre de New York : le Edmond Theater.
Avant de mourir, il a eu le temps de dissimuler, dans le fatras de décors et accessoires de scène, un mystérieux objet que la CIA comme la DGSE veulent récupérer. Suspectant que l'identité de nombre de leurs agents est tombée entre les mains des renseignements américains à cause de cet espion décédé soupçonné de trahison, les services secrets français veulent envoyer un inconnu hors du circuit pour récupérer l'objet caché.
Or, Marchand a eu le temps de griffonner un nom avant de pousser son dernier soupir : « Boloren ». Comme le nom de cet ancien flic, Hugo Boloren, qui s'ennuie dans sa formation de zythologue (« c'est comme oenologue mais pour la bière ») dans un petit village de montagne. Le colonel Grosset, haut gradé de la DGSE et cousin de l'ancien commissaire d'Hugo Boloren, va donc le convaincre de partir à New York, de s'infiltrer dans le Edmond Theater, d'identifier et de récupérer l'objet caché.
À son arrivée, Hugo va découvrir le monde étrange de ce théâtre de Broadway dirigé par une équipe de Français aux nombreux secrets... L'intransigeant Felix, le gardien trisomique de la réserve d'accessoires, un directeur exhibitionniste, une régisseuse qui ressemble à Mary Poppins, un éclairagiste aveugle, un perroquet alcoolique, une vieille actrice qui a perdu la tête, un janitor de Harlem qui parle français avec l'accent d'un lord anglais, sans compter Clara Colombo, l'agent de la DGSE à peine majeure qui veille sur Hugo de loin, et Germain Jary, l'ancien consul qui tire les ficelles dans l'ombre...
Toute cette petite foule évoluant dans un New York plongé dans une brume inquiétante et tenace dont on murmure qu'elle ne serait pas totalement naturelle. Et même si le colonel Grosset lui rappelle que sa mission se limite à retrouver l'objet caché et le rapporter en France, la petite bille qu'Hugo a dans la tête lui souffle de regarder plus loin. Qu'est-ce qu'un agent de la DGSE faisait dans le sous-sol de ce théâtre ? Pourquoi tout le monde est intéressé par cette montagne d'accessoires poussiéreux ? Est-ce vraiment un agent de la CIA qui a assassiné Marcel Marchand ? Pourquoi a-t-il écrit ce nom de « Boloren » avant de mourir ? Hugo va avancer à tâtons dans le brouillard de son enquête, dans le brouillard de sa vie personnelle et dans le brouillard de la ville de New York... Alors qu'au milieu de ces brouillards, la tragédie re, prête à frapper Hugo Boloren de plein fouet. -
Le nouveau thriller de l'auteure des Jumeaux de Piolenc (plus de 100 000 exemplaires vendus)DES AFFAIRES QUI PRENNENT LEUR SOURCE PRÈS D'UN COURS D'EAU...
« - Vous m'avez apporté des pieds sans corps, s'amusa le légiste qui venait de s'ajouter au groupe, vous m'offrez maintenant des corps sans pieds. Capitaine Vaas, laissez-moi deviner : petit, vous aviez besoin de finir vos puzzles, je me trompe ? »
Martin Vaas, officier de la police judiciaire à Paris est appelé sur les quais, en face du 36 Quai des Orfèvres. Des pieds dans des baskets flottent dans la Seine, mais sans aucune trace de cadavres... Il apparaît rapidement que cette affaire fait écho à d'autres cold-cases. Appuyé par son équipe et par le commandant Lazlosevic, à la tête de la nouvelle division UAC3, spécialisée dans l'analyse comportementale et criminelle et des affaires complexes, l'officier Vaas va découvrir que cette affaire prend sa source, il y a plus de vingt ans, sur les rives de la Durance. -
Il n'y a pas pire vengeance que ce qui blesse ceux qu'on aime.À moins qu'on ne les tue.Il n'y a pas pire obsession qu'un fantôme qui vous hante.À moins que ce ne soit celui d'un ami.Il n'y a pas pire crime que de tuer une enfant.À moins de la tuer deux fois.Un New York sombre et violent, avec des rues comme des canyons dans lesquels
la vie se perd et la mort s'engouffre. Avec fracas parfois, comme lorsqu'elle vient
saisir une petite fille, retrouvée assassinée, le corps mutilé, au milieu d'un amas
d'épaves de voitures.
En équilibre précaire, accroupi tout en haut d'une pile de carrosseries déglinguées,
Pfiffelmann interroge son partenaire, l'inspecteur Donnelli : « Alors, tu en dis quoi ? »
Un début d'enquête somme toute normal.
Sauf que « Pfiff » est un fantôme, qui exige lui aussi la vérité sur les circonstances
de sa mort. Comme si Donnelli n'avait pas déjà tout son soûl de crimes, d'obsessions
et de vengeances. Comme si la ville ne lui avait pas déjà arraché un lourd tribut.
Pourtant, une fois par an, New York lui offre aussi un instant magique, lorsque le soleil
couchant symétrique et flamboyant du Manhattanhenge prend la 42e rue en parfaite
enfilade. Une illumination divine, comme la révélation d'un indice éclaire un crime
d'une lumière nouvelle. Avant que tout, la ville comme la vie de Donnelli, ne sombre
à nouveau dans la nuit.
Un polar noir et puissant, dans une ville que l'on croit connaître mais dont
Roy Braverman fait un portrait inédit, aussi tragique et attachant que ses autres
personnages, aussi à l'aise dans l'humour que dans le suspense, et porté
par une écriture remarquable. -
« Un vrai page-turner, addictif et haletant, porté par une atmosphère envoûtante et une écriture ciselée. » Michel BussiAoût 1989. Solène et Raphaël, des jumeaux de onze ans originaires du village de Piolenc, dans le Vaucluse, disparaissent lors de la fête de l'ail. Trois mois plus tard, seul l'un d'eux est retrouvé. Mort.
Juin 2018. De nouveaux enfants sont portés disparus à Piolenc. L'histoire recommence, comme en macabre écho aux événements survenus presque trente ans plus tôt, et la psychose s'installe. Le seul espoir de les retrouver vivants, c'est de comprendre enfi n ce qui est arrivé à Solène et Raphaël. Au risque de réveiller de terribles souvenirs. -
Une chasse à l'homme sous l'occupationParis, 1942.
Lorsque Mo les-Yeux-Bleus, truand notoire et proxénète, patron d'une des boîtes de nuit les plus réputées de Pigalle, rencontre par hasard Oscar Wagner, il n'a d'autre choix que de le tuer. Mais cette disparition semble inquiéter beaucoup de monde, dont les voyous de la Gestapo française. Il apparaît rapidement que Wagner était au centre d'un jeu complexe entre services secrets allemands, Gestapo et même Intelligence Service. Il s'apprêtait à dévoiler un secret qui pourrait changer le cours de la guerre ! Mais quel est ce secret ? Et qui est vraiment Lizzie Van der Jagt, la mystérieuse secrétaire de feu Wagner ? Bientôt, Mo le tueur devient la proie d'une terrible chasse à l'homme en pleine Occupation. -
« Le thriller de la décennie. »UN ENFANT EN DANGER, UN DILEMME CRUEL. Alors qu'Ellen est dans un train pour rentrer à Londres, une jeune femme qui porte un adorable bébé de trois mois s'assoit en face d'elle. Elles font brièvement connaissance et Kathryn confie le bébé à Ellen, le temps de répondre à un appel urgent sur la plateforme entre deux wagons. Alors qu'elle prend le bébé, Mia, dans ses bras, le c½ur d'Ellen se serre à l'idée qu'elle-même ne pourra jamais devenir mère. Les minutes passent, le train s'arrête à une station, puis redémarre lorsqu'Ellen voit avec stupéfaction sur le quai Kathryn qui se dirige d'un pas décidé vers la sortie Elle se retrouve seule avec le bébé et, à ses pieds, le petit sac avec les quelques affaires du nourrisson. Lorsqu'elle l'ouvre, elle tombe sur les quelques lignes griffonnées à la vite par la jeune femme quelques minutes plus tôt : Protégez Mia Méfiez-vous des flics Ne faites confiance à personne Ellen va découvrir que le bébé qu'elle tient dans ses bras est la clé d'un crime épouvantable et que des personnes sont prêtes à tout pour le récupérer. Ellen sait que les choix qu'elle s'apprête à faire pourraient lui coûter tout
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Alice croyait avoir trouvé la maison de ses rêvesQuand Léo et elle emménagent au Cercle de Finsbury, une résidence haut de gamme en plein Londres, la jeune femme est persuadée de prendre enfin un nouveau départ. Et tant pis si les choses sont allées un peu vite avec Léo et si celui-ci a pris en charge leur emménagementsans véritablement la consulter. La maison est parfaite, la résidence idéale, et les voisins semblent si accueillants !... Mais ce fut celle de ses pires cauchemars. Lorsqu'Alice apprend que Nina, qui vivait dans la maison avant qu'ils n'emménagent, y a été sauvagement assassinée, le vague sentiment d'insécurité qu'elle ressentait jusqu'alors se transforme en peur, puis en terreur. Une présence étrange semble hanter les murs et ni Léo, qui semble lui cacher beaucoup de choses, ni les voisins, qui consacrent le plus clair de leur temps à s'épier les uns les autres, ne la rassurent. Et puis l'on passe bien trop facilement d'une maison à l'autre, à l'intérieur du Cercle, pour pouvoir y dormir en paix.
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Puissant comme un ouragan sur le bayouÉpicé comme un jambalaya créoleEnivrant comme un Ramos Gin FizzEndiablé comme un air de zydecoEnvoûtant comme le parfum des belles-de-nuitSensuel comme La Nouvelle-OrléansNoir comme un roman de James Lee BurkeL'ouragan se déchaîne. Les bourrasques défoncent et emportent jusque sous le ciel noir tout ce qu'elles déchirent. Les traits de pluie, glacée et violente, fouettés par le vent, le cinglent comme autant de lanières. La pelouse est jonchée de projectiles hétéroclites qui retombent lourdement du ciel. Il pleut des barques, des barbecues, des poubelles.
Des lampadaires. Des remorques. Tout ce que l'ouragan arrache sur l'autre rive du bayou Teche, il le crache sur cette pelouse. Une baignoire se fiche dans un parterre de géraniums, à deux mètres à peine de l'homme qui sursaute.
C'est en se retournant pour voir à quoi d'autre s'attendre qu'il aperçoit l'alligator.
Un monstre de quatre bons mètres. Trois cent cinquante kilos de fausse pesanteur préhistorique. Caparaçonné d'une armure d'écailles cornées et de plaques osseuses.
Le crâne incrusté de coquillages. La plus puissante mâchoire sur Terre. Quinze fois celle d'un rottweiler.
On devine son flanc nacré enfoncé par les coups de boutoir de la tempête. Chaque bourrasque le percute de côté pour le retourner. Par instinct, il se plaque au sol et plante ses griffes cornées dans la terre qui s'emboue et fond sous le déluge. Son oeil d'ambre alerté par les mouvements de l'homme, le monstre se dresse sur ses courtes pattes, coudes écartés, pour mieux le voir de ses yeux myopes grand ouverts sous la pluie.
Le vent en profite aussitôt. Il se glisse sous son ventre d'ivoire, l'arrache du sol, et l'emporte avec lui dans son assaut contre la maison.
Paralysé par l'horreur, l'homme regarde l'alligator valdinguer à travers les airs droit sur lui, tournoyant sur lui-même, comme une simple bouée de piscine sous un vent de plage. Mais ce qui le frappe en pleine poitrine, ce sont trois cent cinquante kilos d'un animal blindé projeté par des vents de cent quatre-vingts kilomètres-heure. Le choc les projette cinq mètres plus loin dans la boue épaisse qu'est devenue la pelouse. L'homme y patauge aussitôt sur le dos, terrifié, et tente de se dégager du poids de l'alligator qui l'étouffe, tombé à l'envers en travers de sa poitrine. Mais, d'abord étourdi par le vol et le choc, le reptile retrouve vite ses instincts primaires. D'un coup de reins puissant, il se remet sur ses courtes pattes et se retourne face à l'homme, pétrifié par l'horreur à quatre pattes lui aussi. Les deux restent immobiles dans la tempête, la gueule et le visage lacérés par la pluie, abasourdis par le vent. Les yeux d'ambre et fendus de noir de l'alligator, sans aucune expression, comme absent du carnage qui s'annonce. Quand il amorce un imperceptible recul, le sicaire croit à sa chance. Une seconde. Une seule. Celle d'après, l'alligator se jette sur lui et sa gueule hérissée de crocs d'ivoire jaunis claque sur sa tête et lui déchire l'épaule et le crâne. Puis l'animal s'assure, de deux brusques mouvements de la tête en l'air, que l'homme hurlant ne lui échappera pas, et le traîne à reculons jusqu'à la berge du bayou. Pour le noyer dans son garde-manger, quelque part au fond de l'eau, profond sous les courants inondés. -
Inspiré de l'histoire vraie du « Dépeceur de mons », l'un des pires serial killers que la belgique ait connus.Belgique. Il y a quelques années. Après avoir profité de sa victime deux jours durant, un homme s'installe dans le garagede ses parents pour démembrer le corps. Ce qui devait être une besogne l'enthousiasme et l'élève à un niveau qu'il ne soupçonnait pas. Il décide alors de joindre l'utile à l'agréable et de créerune oeuvre qu'il compte bien exposer aux yeux de tous. Nord de la France. Quelques semaines plus tard. Une patrouille de la territoriale est avisée de la découverte du bassin d'une femme le long d'un fleuve. Rapidement, les recherches stagnent, aucun indice, aucune trace, impossible d'identifier la victime et par conséquent, l'assassin. La piste belge est évoquée mais ne mène nulle part. Jusqu'à ce que de l'autre côté de la frontière, le tronc d'une femme soit également découvert dans un cours d'eau. Le morceau de corps est dépecé et les aréoles sont absentes, découpées avec soin. Débute alors une enquête qui marquera les esprits de tous. Particulièrement celui de Mélanie Penning, en poste à la Criminelle depuis un an. Repartie de zéro après la fin brutale de son mariage, l'enquêtrice subit de plein fouet les images insoutenables inhérentes à sa nouvelle fonction. Seule femme aux homicides, elle a tout à prouver et ne compte pas laisser ce prédateur continuer à faire son marché dans le monde de la nuit. Là où sa jeune soeur a ses habitudes.
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JACK EST UN HOMME CHARMANT, UN AVOCAT BRILLANT ET UN MARI ATTENTIONNÉ.GRACE EST UNE FEMME ÉLÉGANTE, UNE MAÎTRESSE DE MAISON TALENTUEUSE ET ELLE EST PRISONNIÈRE.PARFOIS, UN MARIAGE PARFAIT CACHE UN MENSONGE PARFAIT.ET VOUS, CONNAISSEZ-VOUS VRAIMENT VOS AMIS ?En apparence, Jack et Grace ont tout pour eux. L'amour, l'aisance financière, le charme, une superbe maison.
Le bonheur.
Vous connaissez tous un couple comme celui qu'ils forment, le genre de couple que vous aimeriez connaître mieux.
Vous adoreriez passer davantage de temps avec Grace, par exemple. L'inviter à déjeuner, seule.
Et pourtant, cela s'avère difficile. Vous réalisez que vous ne voyez jamais Jack et Grace l'un sans l'autre.
Est-ce cela que l'on appelle le grand amour ?
À moins que les apparences ne soient trompeuses.
Et que ce mariage parfait ne dissimule un mensonge parfait.
Car pourquoi Grace ne répond-elle jamais au téléphone ?
Et pourquoi les fenêtres de la chambre sont-elles pourvues de barreaux ?
UN PIÈGE CRUEL ET DIABOLIQUE
UN LIVRE BRILLANT ET TERRIFIANT -
LES ENFANTS DU DIABLE NE MEURENT JAMAIS1995 : Faubourg de Kombakkam (Sud-Est de l'Inde)
Viresh est un Dalit, un Intouchable. À huit ans à peine, il comprend que son existence ne sera qu'un enfer pavé d'humiliations. Révolté par cette condition qu'il n'a pas choisie, désireux de s'affranchir d'une société régie par un système de castes archaïque et profondément inégalitaire, le jeune garçon apprendra bientôt ce qu'il en coûte de défier la volonté des dieux.
Janvier 2020 : Paris. Un hiver poisseux et humide
Le lieutenant Lucas Dorinel quitte sa Bretagne adoptive et prend le premier train pour Paris, deux ans après son départ forcé de la capitale. Réintégré au sein de la prestigieuse Brigade criminelle, il n'est pas encore parvenu au Bastion qu'une femme se suicide sous ses yeux en se jetant tête la première sous les roues d'un bus.
Quelques heures plus tard, le lieutenant est envoyé sur une scène de crime atroce dans un HLM de Bondy : un homme retrouvé mort chez lui, les membres disloqués, mutilés, son corps nu écrasé au fond d'une malle. Le plus étrange survient lorsque le légiste retrousse les lèvres du mort pour dévoiler des canines anormalement longues, tout droit sorties d'un film d'horreur.
Pour Lucas Dorinel et ses équipiers, le cauchemar ne fait que commencer. -
Blanche Barjac, Madame B, est nettoyeur de profession. Malfaiteurs, tueurs à gages et meurtriers, tous font appel à elle pour qu'il ne reste plus une trace de leurs crimes et délits.
Après plusieurs années passées à s'imposer dans ce monde d'hommes, Blanche est devenue une professionnelle respectée dans ce milieu si particulier. Digne héritière de son beau-père qui l'a formée, elle est reconnue pour son efficacité, sa discrétion et son savoir-faire. Si après chacune de ses interventions Madame B garde un indice comme « assurance-vie », elle n'est pas la seule à accumuler les preuves compromettantes.
En menant l'enquête sur le maître chanteur qui la persécute et la fait douter chaque jour un peu plus de sa santé mentale, Blanche revient sur son passé et réalise que malgré les nettoyages, toutes les taches ne sont pas effacées. Et que chaque acte entraîne des conséquences. -
Sandrine Destombes continue d'explorer le territoire du fait divers avec Le prieuré de Crest, une enquête où les femmes sont coeur de l'intrigue.« Madame, je vais vous demander de sortir du véhicule, s'il vous plaît. »
Le sous-lieutenant Benoit se remémorera longtemps cette scène avec une seule question en tête : aurait-il agi différemment s'il avait su ce que déclencherait ce simple contrôle routier ?
Une enfant de huit ans tourmentée.
Une mère disparue à cause du 6-6-B.
Une conductrice qui finit sa course dans le fossé.
Un cadavre aux yeux énuclés.
Telle une comptine macabre, voilà les quelques mots qui se trouveraient dans le rapport du gendarme avant que les Experts du Pôle judiciaire de la Gendarmerie nationale ne débarquent à Crest.
Toute cette agitation vient troubler cette commune tranquille de la Drôme. La tranquilité, c'est aussi ce que sont venues chercher la hiératique Joséphine et ses protégées ; ces femmes du prieuré, sorte de gynécée où les hommes n'ont pas droit de cité.
« Une atmosphère envoûtante et une écriture ciselée. » Michel Bussi -
DIX ANS PLUS TÔT, LEURS JEUX PERVERS ONT BRISÉ DES VIES. AUJOURD'HUI, C'EST À ELLES DE RENDRE DES COMPTES.À leur retour sur le campus, dix ans après l'avoir quitté, deux anciennes amiesde fac réalisent que quelqu'un cherche à se venger de ce qu'elles y ont fait à l'époque et que cette personne ne reculera devant rien pour arriver à ses fins. Un thriller psychologique aussi subtil qu'efficace sur l'ambition, les amitiés toxiques et les désirs mortels. Un premier roman impressionnant et magistral. Depuis qu'Ambrosia Wellington a quitté la fac, elle s'est donné beaucoup de mal pour s'inventer une nouvelle vie et laisser le passé derrière elle. Lorsqu'elle reçoit un mail l'invitant à la célébration des dix ans de sa promo, son instinct la pousse d'abord à refuser. Jusqu'à ce qu'arrive un étrange message anonyme : « Nous devons parler de ce que nous avons fait cette nuit-là. »Les secrets qu'Ambrosia pensait enfouis ne le sont pas. Quelqu'un sait. Quelqu'un sait que l'amitié entre Ambrosia et l'extravagante Sloane Sully Sullivan les a poussées à jouer à des jeux de séduction de plus en plus troubles, de plus en plus pervers. Mais comment résister au charme vénéneux de Sully, capable de faire faire ce qu'elle voulait à toutes celles et tous ceux que ce charme envoûtait ? De retour sur le campus, assaillies par les souvenirs et par les remords, Ambrosia et Sully reçoivent des messages de plus en plus menaçants. Celui ou celle qui les écrit ne cherche pas seulement à connaître la vérité, mais à se venger. À se venger de ce que les deux filles ont fait dix ans plus tôt, et dont Ambrosia réalise enfin toute la cruauté. Alternant entre le récit du premier semestre d'Ambrosia sur le campus et celui de son retour dix ans plus tard, Nous étions les reines mêle thriller, tragédie, trouble et trahison pour décrire avec brio la brutalité et la perversité des jeux amoureux, à un âge où l'on ne réalise pas qu'il n'y a parfois qu'un souffle ténu entre l'amour et la mort.
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Si ce polar vous fait penser à quelqu'un, ce n'est pas tout à fait par hasardMarion Barthes est capitaine au sein des Affaires spéciales de la Gendarmerie nationale, un corps hors normes dépendant directement des plus hautes autorités de l'État et chargé des dossiers politiquement les plus sensibles, ceux qui peuvent mettre en jeu la sécurité de l'État. Lorsque trois corps sont retrouvés cruellement piégés, mis à mort comme des animaux traqués,à proximité des spectaculaires gorges de Daluis, Marion est d'abord surprise de se voir confierl'enquête. Mais pourquoi faire appel aux Affaires spéciales, alors que tout semble lier les meurtresau monde des extrémistes anti-chasse ? Surtout que l'enquête va la ramener sur les terresde son enfance, lourdes de secrets et de rancoeurs. Sauf qu'aucune des victimes n'est liée, de près ou de loin, à l'univers de la chasse. Toutes, par contre, avaient un lien direct avec l'Élysée, jusqu'au président lui-même, via son plus proche conseiller à la sécurité, le très énigmatique et ambitieux colonel Bonnelli. Mais pour quelles raisons au juste les Affaires spéciales héritent-elles de ce dossier ? Pour exposer l'affaire, ou pour l'étouffer ? À moins que ce ne soit pour en cacher une autre, aux conséquences plus ravageuses encorepour Marion et pour l'État
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« Un vrai talent d'écriture au service d'une intrigue efficace et riche en rebondissements. »Michel BussiNoah Wallace est un homme usé, l'ombre du brillant profileur qu'il était jusqu'à ce qu'un accident lui enlève à la fois sa femme et sa carrière. Mais une carte postale trouvée sur le lieu d'un crime atroce au Canada l'implique directement et le ramène à une série de meurtres commis cinq ans plus tôt. Dans le même temps, à New York, la journaliste-blogueuse Sophie Lavallée enquête sur un reporter disparu dans les années soixante-dix. Et si les deux affaires étaient liées par le même sombre secret ?
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S'il parle, il la détruit. S'il se tait, il se détruit. Et vous, que feriez-vous ?Depuis toujours, Livia rêve d'une énorme soirée pour ses 40 ans ; et Adam, son mari, met tout en oeuvre pour que la fête soit inoubliable. Il s'organise pour que leur fille Marnie vienne exprès de Hong Kong ce sera une surprise pour Livia.
Mais quelques heures avant la soirée, Adam apprend que le vol dans lequel se trouvait peut-être Marnie s'est crashé. Est-ce qu'elle avait pu prendre cet avion, sachant que son vol précédent
avait décollé en retard et qu'elle pensait ne pas pouvoir attraper sa correspondance ? Adam doit-il en parler à Livia, au risque de l'inquiéter pour rien ? Et pourquoi Livia semble-t-elle soulagée que Marnie ne soit pas là ?
Lorsque la fête commence, chacun devra danser avec ses secrets et ses peurs. Jusqu'à ce que s'ouvre enfin le portillon du jardin et qu'une silhouette s'avance vers les invités