Le livre indispensable pour faire de vraies activités Montessori à la maison
Pour tous les parents qui souhaitent aider leurs enfants dans l'acquisition de l'autonomie et de la confiance en soi, cet ouvrage propose des pistes de réflexion et de création à moindre coût, dans le respect de la pédagogie Montessori.
o Des fiches d'activités pratiquées dans les établissements Montessori : trier des objets par taille, transvaser des graines d'un bol à un autre, faire un bouquet, visser et dévisser des bouchons de bouteille, ranger des cartes de nomenclature...
o Une organisation par tranches d'âge (0-2 ans, 2-4 ans) pour accompagner les enfants dans leur développement.
o Des thématiques précises (vie pratique, vie sensorielle, développement de la motricité, lecture...), pour piocher des idées selon l'intérêt et les besoins.
o Des notions explicitées (environnement préparé, contrôle de l'erreur...), pour comprendre les tenants et les aboutissants de la pensée de Maria Montessori.
Par les spécialistes français du sujet
Sylvie d'Esclaibes est créatrice et directrice depuis 1992 du seul Lycée Montessori en France. Elle a créé l'organisme de formation « Apprendre Montessori » qui dispense des formations Montessori dans toute la France.
À ce jour, il y a environ 400 personnes formées dont plus de 60 % de professeurs des écoles.
Noémie d'Esclaibes est directrice de l'école Montessori Internationale de Bordeaux.
Des enfants vivent jour après jour des malaises liés à leur fréquentation de l'école sans que de réels troubles d'apprentissage soient diagnostiqués. Que faire ?
Face à l'influence toujours plus vive de l'audiovisuel marchand sur leur imaginaire, quel projet proposer à nos enfants pour les aider à construire leur esprit critique et à se faire une place dans la cité ? Avec maîtrise et clarté, Jean-Gabriel Carasso explique le sens et les enjeux de l'éducation artistique et culturelle.
Il incite les responsables politiques, du chef de l'Etat aux élus locaux, à faire de ce thème une cause nationale.
Un manifeste à mettre entre toutes les mains : parents, enseignants, artistes, acteurs culturels, élus...
Nos enfants ont-ils le droit à l'art et à la culture ? Manifeste pour une politique de l'éducation artistique et culturelle est le premier opus de la collection "La culture en questions" destinée à porter les enjeux culturels sur la place publique, bien au-delà du cercle des initiés.
Lire et écrire n'est pas une question totalement résolue aujourd'hui. De nombreux adultes, en France et dans le monde, sont encore analphabètes et illettrés. Dans ce nouveau livre, José Morais tente de nous expliquer comment fonder l'alphabétisation sur des bases scientifiques. Pour lui, les parents doivent participer activement à ce projet. Il propose également une école de la pensée libre et critique qui universalise les capacités de lecture et d'écriture. Son projet est, enfin, de favoriser des instruments de développement de la personne et de démocratisation de la société. José Morais, psycholinguiste, est professeur émérite à l'Université libre de Bruxelles (ULB). Ancien combattant pour la démocratie au Portugal, il a participé activement à la lutte contre la dictature de Salazar avant d'obtenir en Belgique le statut de réfugié politique de l'ONU en 1969. Il est actuellement professeur invité au Centre de recherche en cognition et neurosciences de l'ULB. Il a notamment publié L'Art de lire, en 1994.
Qu'est-ce que le marketing social ? Fruit de la collaboration entre chercheurs et experts, cet ouvrage combine des éléments théoriques et des conseils pratiques à des exemples de campagnes de marketing social, pour présenter ce concept et d'en faire découvrir les techniques, améliorant ainsi l'impact des programmes de prévention sur la population.
De ses travaux en neurosciences jusqu'à ses recherches les plus récentes en ergonomie, de ses rencontres avec les enseignants et les personnels de l'Education Nationale, les parents, les personnels des collectivités territoriales, Nicole Delvolvé délivre une réflexion critique et argumentée des conditions de vie et de travail dans les établissements scolaires. Elle développe clairement l'idée d'un équilibre à trouver entre le facteur humain et les contraintes contextuelles afin que chaque élève puisse apprendre avec plaisir et efficacité et que les enseignants et les personnels d'encadrement soient heureux dans leurs missions.
Le secteur social et médico-social traverse une profonde mutation : il ne s'agit pas simplement d'un défi économique, mais d'une transformation de culture professionnelle. L'évolution des droits, les progrès médicaux, mais aussi les représentations que la société porte sur le handicap obligent les pouvoirs publics et les professionnels à reconsidérer les possibles réponses à apporter aux bénéficiaires et aux familles. Cet ouvrage présente les transformations organisationnelles opérées dans un IME : le passage d'une prise en charge cloisonnée vers un accompagnement « hors les murs », qui optimise la prise en compte de chaque parcours de vie.
Tout se passe aujourd'hui comme si l'acte éducatif était devenu problématique pour les acteurs qui en ont la charge, sous les injonctions à la fois d'une forte demande sociale de réflexion autour de l'éducation et la résurgence du concept d'autorité dans les discours publics. Comment expliquer ce malaise que semble éprouver notre société à l'égard de l'éducation ?
En revenant sur l'évolution des pratiques éducatives, des structures familiales et des représentations de l'enfant, Julie Pinsolle dessine un portrait actualisé de l'éducation familiale. À quelles logiques les familles obéissent-elles, quelles valeurs transmettent-elles ? Si l'éducation s'est transformée, elle pose un nouveau dilemme pour les parents, tiraillés entre idéaux participatifs et responsabilité parentale. Comment les familles composent-elles avec cette tension au quotidien avec leur enfant ? À partir des pratiques contemporaines d'éducation à la préadolescence, il apparaît que l'éducation, loin d'obéir uniquement à des recettes prédéfinies par les contextes sociaux et les vécus familiaux, est un processus évolutif et relationnel dans lequel le sens des règles est primordial.
Préface d'Antonella Verdiani, cofondatrice et présidente du Printemps de l'éducation.
Une réflexion et des outils pratiques pour aider parents et éducateurs à révéler et mettre en valeur les potentiels des enfants. Comment donner confiance à nos enfants, les valoriser, les accompagner et les aider à révéler leurs potentiels ? Quel langage, quelles postures adopter ? Et quelles erreurs éviter ?
Fortes de leur expérience de mères, enseignantes et éducatrices, quatre professionnelles de l'éducation, aux expériences et pratiques variées et complémentaires, nous livrent leurs réflexions et leurs conseils pour mettre en oeuvre une éducation bienveillante, aussi bien à la maison qu'à l'école.
S'appuyant sur leur expérience, elles allient théorie et pratique pour nous livrer des clés éducatives, des pistes, mais aussi des outils concrets à utiliser au quotidien dans notre relation avec les enfants. Les auteurs montrent l'importance de la Communication non violente, mais s'attachent aussi à tout ce qui, dans la relation avec un enfant, passe par le non verbal.
À destination des parents, des enseignants et des éducateurs.
Ouvrage coordonné par Blandine Swyngedauw, co-fondatrice du Printemps de l'éducation et Alain Delacour, auteur du livre Le Petit maître.
Le livre
Conçu pour s'adresser aux professionnels en formation et aux cliniciens d'expérience, cet ouvrage, présenté en deux parties, porte sur les approches cliniques de la délinquance sexuelle des mineurs. La première partie traite d'évaluation, la seconde de traitements: prévention, gestion des émotions, éducation, réinsertion sociale et rapports familiaux, entre autres sujets. Il s'agit du premier tome du collectif.
Les auteurs
Emmanuel Aubert, Nathalie Auclair, Ian Barsetti, Stéphanie Blondeau, Carole Boucher, Julie Carpentier, Yves Claveau, Anne Dallaire, Martine Jacob, Benoît Leclerc, Denis Lafortune, Samuel Lemitre, Gina Madrigrano, Jean Proulx, Robert Quenneville, Véronique Sion et Monique Tardif, Marc Tourigny.
Le public cible : les étudiants en criminologie, les professionnels en formation et les cliniciens d'expérience dans les disciplines en sciences humaines et de la santé qui sont rattachés à différents milieux de pratique.
Communément, l'usage social veut que l'on utilise les discours de toute sorte - dits ou écrits - comme autant de ponts qui nous renseignent sur ce que, telle ou telle, la réalité est : en lisant les journaux, on s'enquiert des événements qui font l'actualité, en écoutant un proche, on s'informe sur les derniers péripéties qui ont marqués sa vie. Mais, comme Magritte qui invitait à ne pas confondre représentations picturales et réalité - « Ceci n'est pas une pipe » -, on peut rompre avec cet usage indigène des discours afin de les prendre pour ce qu'ils sont : d'abord et avant tout des productions sociales, miroir des représentations ou « pensées » qu'à un moment donné les individus tentent d'exprimer au moyen des mots. Se dessine alors une opportunité de voir dans les discours le terrain d'accomplissement d'autant de pratiques - inséparablement sociales et conceptuelles - que l'on peut s'employer à décrire. S'appuyant essentiellement sur des entretiens passés auprès de chercheurs et de journalistes et qui visaient à déterminer comment chacun aborde la réalité, la recherche est aussi l'occasion d'aborder des questionnements classiques d'épistémologie, cela surtout pour en évaluer des fondements et/ou implications proprement sociaux : comment comprendre par exemple, d'un point de vue sociologique, la disposition commune à reconnaître ponctuellement quelque chose comme des faits, soit des éléments discursifs qui paraissent si durs et/ou si inhérents aux phénomènes approchés ?
Concevoir la question des drogues illicites en dehors de leur contexte criminel est difficile. Certaines questions reviennent immanquablement: prendre de la drogue pousse-t-il vraiment à la délinquance? Existe-t-il des drogues aux propriétés criminogènes ? Pourquoi un toxicomane se tourne-t-il vers la criminalité ? Quelles sont les meilleures façons d'intervenir auprès des personnes qui ont de graves problèmes de consommation?
Cette troisième édition présente la relation complexe entre drogue et criminalité, évitant les énoncés sommaires qui voudraient que l'usage de substances psychoactives mène nécessairement au crime. Elle met ainsi en lumière les contextes politiques et légaux liés aux drogues et fait une synthèse exceptionnelle des résultats de la recherche des vingt dernières années. Les auteurs rendent compte de l'importance accrue qu'on accorde désormais aux usagers de drogues illicites ainsi qu'aux personnes dépendantes et ils décrivent les différentes formes d'aide qui leur sont proposées.
Serge Brochu, Ph. D. psychologie, est professeur titulaire à l'École de criminologie de l'Université de Montréal et président honoraire de la Société internationale de criminologie de même que président de l'Association des intervenants en dépendance du Québec (AIDQ). Il est chercheur régulier au Groupe de recherche et intervention sur les substances psychoactives-Québec (RISQ) et au Centre international de criminologie comparée (CICC). Il est le directeur scientifique de l'Institut universitaire sur les dépendances (IUD).
Natacha Brunelle, Ph.D. criminologie, est professeure titulaire au Département de psychoéducation de l'Université du Québec à Trois-Rivières et titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur les trajectoires d'usage de drogues et les problématiques associées. Elle est chercheuse régulière au RISQ, au CICC, ainsi qu'à IUD.
Chantal Plourde, Ph.D. criminologie, est professeure titulaire au Département de psychoéducation de l'Université du Québec à Trois-Rivières et chercheuse régulière au RISQ et au CICC. Elle dirige également l'antenne UQTR du CICC.